La Colección
Página principal > Obras > Anguille de praline, pensée de vitrailDescripción
Manuscrit de Paul Éluard destiné au deuxième numéro de La Révolution surréaliste (janvier 1925).
Un des rares textes automatiques de Paul Éluard, peu enclin à l'exercice. D'après Pierre Naville, l'auteur de Capitale de la douleur avait quelque mal à distinguer poésie conventionnelle, écriture automatique et rêve, et mêlait indistinctement les trois genres dans ses recueils. Selon Naville, « c’était toujours de la poésie », et il y voit « une effusion plus encore qu’une confusion ».
Le texte revendique un érotisme provocateur, sous la figure d'Henri IV, le Vert Galant. On y fait profession d'apprécier le billard (mot suggestif ?) grâce à une aventurière de Montmartre. Comme de coutume avec l'écriture automatique, les mots s'accolent dans un sens étrange (« Je préfère l’épuisette à prendre les animaux féroces de nos déroutes les plus célèbres »), ou dessinent des histoires pleines de « nuances incertaines ». [Antoine Poisson, site André Breton, 2022]
Bibliografía
Paul Éluard, « Paul Éluard », La Révolution surréaliste, n° 2, janvier 925, p. 6.
Fecha de creación | [sd, circa 1925] |
Notas bibliográficas | Ms avec annotations pour l'imprimerie - encre noire - 2 pages in-4° collées entre elles. |
Idiomas | français |
Biblioteca | |
modo de ingreso en las colecciones públicas | Collection Jacques Doucet |
Número de páginas | 2 p. |
Palabras clave | revista, revista "La Revolución surrealista", escritura automática, edición |
Categorías | Manuscritos, Manuscritos de los miembros del grupo |
Serie | [Revue] La Révolution surréaliste, 2 |
Enlace permanente | https://cms.andrebreton.fr/es/work/56600101002017 |