Description
Manuscript by André Breton composed of press cuttings on the mediumistic artist Joseph Crépin for an exhibition devoted to Crépin from 10 to 30, November 1955 at L'Étoile scellée.
There is a painting on the back one would unhesitatingly describe as indecipherable; on the front, there is a press review of articles and news items that had been devoted to Crépin since 1946. Breton, who owned a few of this mediumistic artist’s work, would himself publish an article in Combat about him on 14 June 1954. The article, which was first written in 1948 and would be reprinted in Le Surréalisme et la peinture, was initially intended for the Almanach de l'art brut, produced in collaboration with Fautrier. Breton was in contact with the painter, who told him about some of his experiences. [Atelier André Breton website, 2005]
Handwritten manuscript, sd [1955].
- 1 page in-8, handwritten in ink by Breton of critical articles in the press concerning the painter Joseph Crépin:
‘Always very calm, this psychic painter declares that he will die when he has painted his 45 marvellous temples, the sketches of which had already been done on paper. [...]’ René Barotte, Four and Three, 1946. [Breton indicates at the bottom of the page:] This was exactly right. It was during the execution of this forty-fifth painting (No. 13 in the present exhibition) that Joseph Crépin died.’ [sale catalogue, 2003]
*Translated by Michael Richardson.
Bibliography
André Breton (Édition publiée sous la direction d'Étienne-Alain Hubert avec la collaboration de Philippe Bernier et Marie-Claire Dumas), « Joseph Crépin », Le Surréalisme et la peinture, Œuvres complètes, tome IV, Écrits sur l'art et autres textes, Bibliothèque de la Pléiade, Paris, Gallimard, 2008, p. 710, notice p. 1356.
Exhibition places
Joseph Crepin
Manuscript
Author
Author André BretonPeople cited Joseph-Ferdinand Cheval, Fleury Joseph Crépin, Drouin, Jean Dubuffet, Adolf Hitler, A. Lesage, Walter Morgenthaler, Paresse, Augustin Petitjean, Victorien Sardou, Joseph Staline, Adolf Wölfli
Description
Two manuscript versions of an article by Breton on the ‘mediumistic painter’ Joseph Crépin. The article would be published in Arts in June 1954 before being republished in Surrealism and Painting in 1965.
Taking up once more the thread of an article written in 1948, André Breton published an article in Arts, June 1954, about the ‘mediumistic painter’ Joseph Crépin, that would be republished in Surrealism and Painting. In it he announces an exhibition devoted to the painter at galerie Voyelles, and offers a broad commentary on a body of work and an artistic personality that are disconcerting, to say the least. The following year Breton would organise a new exhibition of works by Crépin at the à l’ Étoile scellée gallery, travelling in person, with Charles Estienne, to fetch the exhibits from Montigny-en-Gohelle.
His interest in Crépin was as much personal as aesthetic, as reflected in his text that has a marked documentary aspect in comparison to his other critical writings. Indeed, the notion of the sacred alone could not account for a body of work associated with a form of apprehending the world and with a way of life that require description rather than commentary. [Atelier André Breton website, 2005]
Signed handwritten manuscripts, undated [1948-1954].
5 small numbered in-4° pages of a titled and signed manuscript by Breton with deletions and corrections of the first draft of this text devoted to the painter Joseph Crépin.
5 in-4° numbered pages cut into 8 strips, of a titled and signed manuscript by André Breton of the final version of the text:
‘It must be admitted that only very few such compositions satisfy fully this exacting standard […]. The creations of Joseph Crépin, which were first revealed to me in 1948 on the occasion of the very first collective exhibition of 'art brut’, belong unquestionably to this class of work. In this case, as in the others mentioned above, we are confronted, it must be remembered, with works which are not amenable to the premises of professional criticism for the excellent reason that, as the authors themselves agree, they are purely and simply transmissions of a message which has been received, and that consequently the hand which transcribes this message considers itself to be constantly guided.’ New edition of Le Surréalisme et la peinture, Gallimard, 1965. [Auction catalogue, 2003]
Translated by Krzysztof Fijalkowski
Bibliography
André Breton, « Un peintre médium, Joseph Crépin (1875-1948) », Combat-Art, 14 juin 1954.
André Breton (Édition publiée sous la direction d'Étienne-Alain Hubert avec la collaboration de Philippe Bernier et Marie-Claire Dumas), « Joseph Crépin », Le Surréalisme et la peinture, Œuvres complètes, tome IV, Écrits sur l'art et autres textes, Bibliothèque de la Pléiade, Paris, Gallimard, 2008, p. 710-719, notes p.1355-1357.
Creation date | sd [1948-1954] |
Bibliographical material | André Breton, ‘Un peintre médium, Joseph Crépin (1875-1948)’, Combat-Art, 14th June 1954.
André Breton, ‘Joseph Crépin’, Le Surréalisme et la peinture, Œuvres complètes, volume IV, Écrits sur l'art et autres textes (edition established by Marguerite Bonnet and edited by Étienne-Alain Hubert with contributions from Philippe Bernier and Marie-Claire Dumas), Bibliothèque de la Pléiade, Paris, Gallimard, 2008, pp. 710-19, notes pp.1355-57. |
Date of publication | 1954 |
Languages | French |
Museum | Musée Lam de Lille Métropole, Villeneuve d'Ascq : Inv: 2003.7.39 Musée Lam de Lille Métropole, Villeneuve d'Ascq : Inv: 2003.7.40 |
Reference | 697000 |
Breton Auction, 2003 | Lot 2406 |
Keywords | Art Brut or naive, Exhibitions, Work notes, Painting, Reviews and Journals |
Categories | Archives, Archival Documents, Manuscripts, Andre Breton's Manuscripts |
Set | [Breton's Manuscripts and Drawings] dossier Le Surréalisme et la peinture |
Exhibitions | Surréalisme..., MNAM Centre Pompidou | Centenaire du Manifeste du surréalisme
, Librairie-Galerie Métamorphoses | Fleury Joseph Crépin. Conjurer la guerre,
peindre la paix.
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Permanent link | https://cms.andrebreton.fr/en/work/56600100783590 |
Exhibition places
Description
Tapuscrit d'un article publié dans le journal Samedi Soir le 21 septembre 1946.
Joseph Crépin, Gironella, Wölfli, Hippolyte, Hernandez sont au centre de cet ensemble de lettres de Jean Dubuffet à André Breton. En 1948, autour de la Compagnie de l'Art brut, dont nous avons ici les statuts et à laquelle appartiennent également Jean Paulhan, le critique Michel Tapié, le romancier Henri-Pierre Roché (l'auteur de Jules et Jim) et le galeriste Charles Ratton (spécialisé dans l'art primitif et avec lequel Breton était en contact depuis la fin des années 1930), divers projets voient le jour : animation du Foyer de l'art brut, expositions (Wölfli). Le plus intéressant est cet Almanach de l'art brut dont Dubuffet assure la coordination et dont il envoie ici le plan à Breton. On remarquera particulièrement, dans cette liasse de lettres, celle du 28 septembre 1948, souvent citée, qui voit Dubuffet proposer de dresser un « monument à l'oubli ». On notera aussi que c'est autour du moment « art brut » que Breton achève de se tourner en priorité vers la critique d'art, qui l'occupera presque exclusivement pendant près de vingt ans. [site Atelier André Breton, 2005]
Tapuscrit non signé, daté du 21 septembre 1946.
Cet article paru dans Samedi Soir le 21 septembre 1946 accompagne une lettre de Dubuffet à Breton datée du 31 juillet 1948 (1 page in-4° avec enveloppe). [Site André Breton, 2023]
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Lettre et faire-part adressés à André Breton par Jean Dubuffet le 14 novembre 1948.
Faire-part du décès du peintre Joseph Crépin adressé à Jean Dubuffet et renvoyé par ce dernier à André Breton sous enveloppe, comportant une lettre autographe signée de Jean Dubuffet à André Breton, lui annonçant la mort de Crépin (1 page in-12). [Catalogue de la vente, 2003]
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Place of destination
Exhibition place
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Texte tapuscrit concernant Joseph Crépin et sa fille. Joseph Crépin y a joint un cœur en papier découpé et signé.
Joseph Crépin, peintre médium et guérisseur auxquels s'intéressent après-guerre Dubuffet et André Breton, reçoit des « messages » émanant de diverses entités surnaturelles - ici sainte Thérèse de l'enfant Jésus. Le sujet ? Son destin, les quarante-cinq tableaux qu'il lui reste à peindre avant de mourir et la vocation naissante de sa fille.
Le monogramme qui accompagne ce texte ne doit pas induire en erreur ; l'orthographe, le type de machine employé semble désigner Dubuffet comme le scribe qui les a retranscrit, sans doute d'après une relation orale de Crépin. André Breton écrit en 1948 un texte sur Crépin, qui sera repris dans Le Surréalisme et la peinture en 1965. [site Atelier André Breton, 2005]
Tapuscrit et signature manuscrite autographe, 4 octobre 1946.
Placé sous chemise cartonnée titrée "L'Art brut" dans un dossier constitué par André Breton, l'ensemble comporte quelques tapuscrits. Celui-ci forme deux pages, il est accompagné d'un carton découpé et signé de Joseph Crépin :
- Texte tapuscrit de voyante concernant Crépin et sa fille (2 pages in-12).
- Joseph Crépin y a joint un cœur en papier découpé et signé par lui. [Catalogue de la vente, 2003]
Exhibition place
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Huile sur toile de 1940 par Fleury-Joseph Crépin, peintre associé à l'art brut et proche des milieux spirites.
Annotée en bas : 13-7-1940. J H. Crepin. Fy. N° 88. Annotée au dos : JH Crepin. Fy n° 88.
Fleuy-Joseph Crépin
« Un jour, en traçant ses notes de musique, il s'est aperçu que sa main ne lui obéissait plus, et qu'au lieu des clefs et des portées, il était en train de dessiner des formes géométriques pour le moins surprenantes. Il avait soixante-trois ans.
« Mais déjà, auparavant, il avait découvert chez lui un don de guérisseur et de radiesthésiste. Il guérissait même à distance. Il suffisait pour cela d'un cheveu du malade que Crépin posait sur un cœur en carton découpé par lui-même et que ledit malade devait poser à l'endroit où il avait mal. Des quantités de lettres attestent de l'authenticité de ces faits. À tel point qu'il fut même attaqué par l'Ordre des médecins, mais acquitté par le tribunal. Même ses propres tableaux, Crépin les considérait comme bénéfiques. La preuve ? Le pays a beaucoup souffert de la guerre, mais partout où il y avait une peinture de Crépin, les maisons demeuraient intactes. Aussi, il peignait souvent la nuit, au son du violon de sa fille, ou en écoutant les concerts de la T.S.F. Mais personne ne l'a vu peindre.
« Toujours pendant la guerre, il a entendu une voix qui lui disait : "Quand tu auras fini trois cents tableaux, ce jour-là la guerre finira." Et il signa son trois centième tableau le 7 mai 1945.
« Il a prédit aussi sa propre mort, toujours au bout d'un certain nombre de ses tableaux qu'il qualifiait lui-même de merveilleux. Crépin est mort le 10 novembre 1949 à l'âge de soixante-quatorze ans. Son œuvre était peu connue de son vivant. À part les expositions quasi confidentielles qu'il a faites en 1945, 1946 et 1948 à la galerie Lefranc (le fameux fabricant des couleurs qui les échangeait contre sa peinture), rien de sérieux n'a été fait jusqu'à présent pour faire connaître cette étrange peinture, de même que le curieux destin de son créateur. Or, dernièrement, pour commémorer le septième anniversaire de sa mort, une galerie de la Rive gauche, À l'Étoile scellée, a organisé une importante rétrospective de l'œuvre de Crépin. André Breton lui-même s'est chargé, et du choix, et de la présentation. » Anatole Jakovsky (Les Peintres naïfs, Paris, La bibliothèque des arts, 1956, pp. 82-83).
André Breton découvrit Joseph Crépin en 1948, à l'occasion des premières manifestations de l'art brut.
« Sa méthode de travail est la suivante : il se borne à reporter sur toiles les dessins de ses cahiers en les agrandissant au besoin. Il a conscience de n'être pour rien dans le choix et la distribution des couleurs ; c'est comme si on l'amenait à mettre telle ou telle couleur à telle place. De la sorte il est quitte de toute hésitation comme de tout repentir : aussi bien, observe-t-il, il n'a jamais "manqué un tableau".
« J'ai pu examiner quelques feuilles des cahiers de Joseph Crépin, recouvertes des dessins d'après lesquels il a exécuté ses peintures. Ce qui frappe d'abord est qu'il s'agit toujours de pages quadrillées. On ne tarde pas à découvrir que c'est le quadrillage même qui fait l'office de trame, en ce sens que les verticales et les horizontales du dessin se bornent à renforcer certaines parties du réglage, les obliques à joindre diagonalement tels sommets opposés d'angles de carrés ou de rectangles offerts par le papier, les courbes (au moins les courbes maîtresses) à se décrire en arcs de cercle autour de tels points d'intersection fournis par les lignes de repère.
« Le dessin s'organise symétriquement par rapport à l'axe vertical de la feuille. Il y a là rappel d'un procédé en usage chez les enfants qui, je crois, le redécouvrent individuellement devant le même papier quadrillé, mais Crépin en tire un parti incomparable. Chez lui, ce mode schématique de construction se montre propice à la création de colonnes, frontons, balustres, dais, sièges somptueux, hautes lampes, étoiles et croix de tous modèles qui, en quelque sorte articulés au soleil et à la lune, de même armature géométrique préalable, par un système de clous de couleurs (ces "points" en relief, de la profusion et de la perfection desquels Crépin se montre si fier) prêtent à sa peinture quelque chose de la solennité qui passe dans les mots Trône et Domination, quand ils auraient perdu tout sens pour nous.
« Dans l'œuvre de Crépin, la figuration humaine est pratiquement réduite à la tête et au cou, comme dans les tableaux du mineur Lesage de 1927-1928, mais chez lui cette tête offre un caractère moins conventionnel et bien autrement inquiétant (plus en rapport avec les grimoires qu'avec les livres de piété). Il arrive du reste qu'ici ou là elle soit soutenue et comme flairée par des bêtes d'aspect larvaire qui ne sont pas sans présenter des analogies de forme avec celles qu'on découvre dans le tableau de Lesage, intitulé Le Grand Esprit de la Pyramide (1927), comme avec les "souris-mangues" issues de la libido de Wölfli.
« Les "temples" de Joseph Crépin ont ceci de commun avec le Palais idéal du facteur Cheval qu'ils ne comportent pas, à proprement parler, d'"intérieur" et d'"extérieur", ou que cet intérieur et cet extérieur sont comme imbriqués l'un dans l'autre. Ils se dressent dans un espace où ce qui est présumé "derrière" communique au point de ne faire qu'un avec ce qui est présumé "devant" comme ce qui est présumé "dessus" avec ce qui est présumé "dessous" et où rien ne porte ombre, jamais. Ils constituent un des plus beaux fleurons de l'art médianimique. » André Breton (Le surréalisme et la peinture, Nouvelle édition revue et corrigée, 1928-1965, Paris, Gallimard, 1965, p. 298-307).
Art Brut
« Dans ce véritable manifeste de l'Art brut que constitue la notice datée d'octobre 1948, notre ami Jean Dubuffet insiste on ne peut plus justement sur l'intérêt et la spéciale sympathie que nous portons aux œuvres qui "ont pour auteurs des gens considérés comme malades mentaux et internés dans des établissements psychiatriques". Il va sans dire que je m'associe pleinement à ses déclarations : "Les raisons pour lesquelles un homme est réputé inapte à la vie sociale nous paraissent d'un ordre que nous n'avons pas à retenir." Je me déclare en non moins parfait accord avec Lo Duca, auteur d'un remarquable article intitulé L'Art et les Fous qu'on m'a communiqué sans malheureusement pouvoir m'en indiquer la référence et dont je me bornerai à citer ces fragments : "Dans un monde écrasé par la mégalomanie et l'orgueil, par la mythomanie et la mauvaise foi, la notion de folie est bien imprécise." On a d'ailleurs remarqué qu'un nombre excessivement restreint de mégalomanes est soigné par les psychiatres. En effet, dès que la folie devient collective - ou se manifeste par le truchement de la collectivité - elle devient taboue... A nos yeux, le fou authentique se manifeste par des expressions admirables où jamais il n'est contraint, ou étouffé, par le but raisonnable. Cette liberté absolue confère à l'art de ces malades une grandeur que nous ne retrouvons avec certitude que chez les Primitifs...
Il est à observer qu'une gêne croissante, dès qu'il s'agit de la place à faire à de telles œuvres, n'a cessé depuis un demi-siècle de s'exprimer dans les milieux psychiatriques - soit dans un cercle où pourtant ces œuvres étaient essentiellement considérées en fonction de leur valeur clinique. Déjà dans son ouvrage L'Art chez les fous, publié en 1905, Marcel Réja s'oppose à ce que leur qualité maladive les fasse tenir pour "des choses hors cadre, sans rapport avec la norme" et se montre sensible à la beauté de certaines d'entre elles. Hans Prinzhorn (Bildnerei des Geistenkranken, 1922) en révélant celles qui lui paraissent les plus remarquables - notamment d'August Neter, de Hermann Beil, de Joseph Sell et de Wölfli - et en leur assurant une présentation pour la première fois digne d'elles, appelle leur confrontation avec les autres œuvres contemporaines, confrontation qui, sous bien des rapports, tourne au désavantage de celles-ci...
Je ne craindrai pas d'avancer l'idée, paradoxale seulement à première vue, que l'art de ceux qu'on range dans la catégorie des malades mentaux constitue un réservoir de santé morale. Il échappe en effet à tout ce qui tend à fausser le témoignage qui nous occupe et qui est de l'ordre des influences extérieures, des calculs, du succès ou des déceptions rencontrées sur le plan social, etc. Les mécanismes de la création artistique sont ici libérés de toute entrave. Par un bouleversant effet dialectique, la claustration, le renoncement à tous profits comme à toutes vanités, en dépit de ce qu'ils présentent individuellement de pathétique, sont ici les garants de l'authenticité totale qui fait défaut partout ailleurs et dont nous sommes de jour en jour plus altérés. » André Breton (Le Surréalisme et la peinture, Nouvelle édition revue et corrigée, 1928-1965, Paris, Gallimard, 1965, pp.313-316).
Expositions
- Villeneuve d'Ascq, Musée d'art moderne de Lille Métropole, Fleury Joseph Crépin, Rétrospective, 2000, rep.p. 127, n° 52
Exhibition place