La Collection

Hans Bellmer devant une de ses poupées

Hans Bellmer devant une de ses poupées

Photographie

Auteur

Photographe Hans Bellmer

Descriptif

Photographie de Hans Bellmer et de la Poupée en cours de construction, entre 1933 et 1935.

Signé sur le carton en bas à droite : Hans Bellmer.
Annotation manuscrite au dos du carton : La poupée par Hans Bellmer. A.B.

« Par une double exposition, Bellmer s'est fait figurer à côté de la poupée en cours de construction, le mécanisme du panorama est en place et le corps, ainsi qu'une jambe, sont déjà recouverts ; au mur le plan du montage. » (Paris, Musée national d'art moderne / Centre Georges Pompidou, Hans Bellmer, photographe, 1983-1984, p. 141)

Hans Bellmer
« On ne sait comment Robert Valançay et Henri Parisot entrèrent en contact avec Bellmer, mais toujours est-il que celui-ci participa durant l'hiver 1934-1935 à quelques séances du groupe de la Place Blanche et que dès lors, son œuvre photographique figure en bonne place dans toutes les manifestations "officielles" du groupe surréaliste. Non seulement le Minotaure publie en décembre 1934, 18 vues de la Poupée, mais encore il récidive en 1935 où 3 photos illustrent "Appliquées" d'Éluard, puis en 1936 (2 photos) et en 1937 (1 photo) tandis que des œuvres (photographies et dessins) figurent dans toutes les expositions surréalistes à Ténérife (1935), Londres (1936), Tokyo (1937), New York et Paris (1938).
« Cette rencontre avec l'"atmosphère spirituelle du Café de la Place Blanche" (Lettre à R. Valençay, Berlin, 5.3.1935) et le groupe surréaliste constitue une étape essentielle. Non seulement il se lance, dès son retour à Berlin, dans la fabrication d'une nouvelle Poupée qui sera achevée à l'automne de l'année 1935, mais il multipliera, une fois celle-ci terminée, les photographies. » Alain Sayag (Paris, Musée national d'art moderne / Centre Georges Pompidou, Hans Bellmer, photographe, 1983-1984, p. 10).

 

 

 

Bibliographie

- Minotaure, n° 6, hiver 1935, rep.p. 30 (photo publiée inversée droite-gauche)
- Bellmer, William and Norma Copley Foundation, s.d., rep.n° 3 (autre tirage)
- Hans Bellmer, Die Puppe, Berlin, Gerhardt Verlag, 1962, rep.s.p. (autre tirage)
- Paris, Centre national d'art contemporain, Hans Bellmer, 1971-1972, rep.p. 12 (autre tirage)
- «Bellmer», In : Obliques, numéro spécial, 1979, rep.p. 68 (autre tirage)
- Paris, Musée national d'art moderne / Centre Georges Pompidou, Hans Bellmer, photographe, 1983-1984, rep.p. 17, n° 8, p. 141 (autre tirage)
- Paris, Musée national d'art moderne / Centre Georges Pompidou, André Breton, la beauté convulsive, 1991, rep.p. 316

- Paris, Musée national d'art moderne / Centre Georges Pompidou, La Révolution surréaliste, 2002, p. 431
- Düsseldorf, K20 Kunstsammlung Nordrhein-Westfalen, Surrealismus 1919-1944, 2002, p. 452
- Paris, Musée national d'art moderne/ Centre Georges Pompidou, La Subversion des images: Surréalisme, photographie, film, 2009, rep.p. 116

Date de création1933-1935
Notes29,8 x 19,5 cm (11 3/4 x 7 11/16 in.) - Tirage monté sur carton
Crédit© ADAGP, Paris, 2005.
Référence3090003
Vente Breton 2003Lot 5042
Mots-clés,
Catégories[Photos] 1931-1939
Série2009-2010, Subversion des images, centre Pompidou
ExpositionsLa Subversion des images | Photographie surréaliste , Réunions du groupe place Blanche
Lien permanenthttps://cms.andrebreton.fr/fr/work/56600100251940
Lieu d'exposition

Notice reliée à :

1 Œuvre
 
False

Descriptif

Photographie du groupe surréaliste en 1924.

Tirage de la fin des années vingt. Photographie représentant de gauche à droite : Charles Baron, Raymond Queneau, Pierre Naville, André Breton, J.-A. Boiffard, Giorgio De Chirico, Roger Vitrac, Paul Éluard, Philippe Soupault, Robert Desnos, Louis Aragon.

Au premier plan : Simone Breton, Max Morise, Madame Marie-Louise Soupault.

 

Exposition

- Paris, Musée national d'art moderne/ Centre Georges Pompidou, La Subversion des images: Surréalisme, photographie, film, 2009

 

Bibliographie

- La Révolution surréaliste, première année, n° 1, 1er décembre 1924, rep. couv.
- Paris, Musée national d'art moderne / Centre Georges Pompidou, Man Ray photographe, 1982, rep.n° 26 p. 56 (autre tirage)
- José Pierre, Robert Lebel (avant-propos de), L'aventure surréaliste autour d'André Breton, Paris, Filipacchi, Artcurial, 1986, rep.p. 19 (autre tirage)
- Tokyo, Tokyo Station Gallery ; Umeda, Osaka, Daimaru Museum ; Kyoto, Daimaru Museum, Man Ray Rétrospective Photographique 1917-75, 1996, rep. 115 (autre tirage)
- Gérard Durozoi, Histoire du mouvement surréaliste, Paris, Hazan, 1997, rep.p. 70 (autre tirage)
- Paris, Musée national d'art moderne/ Centre Georges Pompidou, La Subversion des images: Surréalisme, photographie, film, 2009, rep.p. 30

Date de création1924
Date d'édition1924
Languesfrançais
Notes17 x 23 cm (6 11/16 x 9 1/16 in.) - Tirage argentique sur papier
Lieu d'origine
Crédit© Man Ray Trust / ADAGP, Paris, 2005.
Vente Breton 2003Lot 5256
Mots-clés,
CatégoriesPhotographies, [Photos] 1924-1930
ExpositionsLa Subversion des images | Photographie surréaliste , Réunions du groupe au Bureau de Recherches surréalistes
Lien permanenthttps://cms.andrebreton.fr/fr/work/56600100040340
Lieu d'origine
Lieu d'exposition

Notice reliée à :

1 Œuvre
 
False

La Centrale surréaliste

-
Man Ray

Photographie du groupe surréaliste par Man Ray datée de décembre 1924
Deux images, une notice descriptive à compléter, une exposition, une bibliographie.

Obrero en huelga, asesinado (Ouvrier en grève, assassiné)

Photographie

Auteur

Photographe Manuel Alvarez Bravo

Descriptif

Tirage du photographe mexicain Manuel Alvarez Bravo daté de 1934 publié par André Breton dans la revue Minotaure en 1939.

Annotation manuscrite au dos : « En largeur : sur toute la page. »

Manuel Alvarez Bravo
« La photographie s'est en général contentée de nous dévoiler le Mexique sous l'angle facile de la surprise telle qu'elle peut être éprouvée par l'œil étranger à chaque détour du chemin. Il en est résulté le plus éclectique et le plus décevant documentaire que je sache, dont les sites panoramiques, les danses indigènes et l'architecture baroque de la colonisation font obligatoirement les frais principaux. À feuilleter ces liasses d'impressions fugaces comme à percevoir sur place ce déclic continu, machinal, foncièrement insensible, on douterait que par un tel moyen pût être pénétrée jamais l'âme du pays. Il est indispensable d'en avoir participé dès l'enfance et depuis lors de continuer à l'interroger passionnément pour être à même de la révéler tout entière. C'est à quoi est parvenu Manuel Alvarez Bravo dans ses compositions d'un admirable réalisme synthétique, dont je ne connais ici aucun équivalent. Tout le pathétique mexicain est mis par lui à notre portée : où Alvarez Bravo s'est arrêté, où il s'est attardé à fixer une lumière, un signe, un silence, c'est non seulement où bat le cœur du Mexique mais où encore l'artiste a pu pressentir, avec un discernement unique, la valeur pleinement objective de son émotion. Servi dans les grands mouvements de son inspiration par le sens le plus rare de la qualité en même temps que par une technique infaillible, Manuel Alvarez Bravo, avec son Ouvrier tué dans une bagarre, s'est élevé à ce que Baudelaire a appelé le style éternel. » André Breton (Paris, Galerie Renou & Colle, Mexique (préface d'André Breton), 1939, s.p.).

 

Titré : Après l'emeute (Tehuantepec) dans Minotaure.  [Anne Egger, 2023, Atelier André Breton]

 

 

Bibliographie

- Paris, Galerie Renou & Colle, Mexique (préface d'André Breton), 1939, s.p. (sous le titre Ouvrier tué dans une bagarre)
- André Breton, « Souvenir du Mexique », In : Minotaure, troisième série, sixième année, n° 12-13, mai 1939, rep.p. 31 (sous le titre Après l'émeute (Tehuantepec))
- Edouard Jaguer, Les Mystères de la chambre noire, Paris, Flammarion, 1982, rep.p. 82, pp. 80-82
- Genève, Musée Rath ; Paris, Musée d'art moderne de la Ville de Paris, Regards sur Minotaure, 1987-1988, rep. 228, n° 9, p. 263 (autre tirage)
- Paris, Musée national d'art moderne / Centre Georges Pompidou, André Breton, la beauté convulsive, 1991, p. 481
- Paris, Musée national d'art moderne / Centre Georges Pompidou, La Révolution surréaliste, 2002, rep.p. 295, p. 431
- Düsseldorf, K20 Kunstsammlung Nordrhein-Westfalen, Surrealismus 1919-1944, 2002, rep.p. 305, p. 452
- Paris, Musée national d'art moderne/ Centre Georges Pompidou, La Subversion des images: Surréalisme, photographie, film, 2009, rep.p. 268

 

 

Date de création1934
Notes

18,6 x 24,1 cm (7 5/16 x 9 1/8 in.) - Tirage monté sur carton

Lieu d'origine
Dimensions18,60 x 24,10 cm
Référence3089006
Vente Breton 2003Lot 5048
Mots-clés,
Catégories[Photos] 1931-1939
Série1939, Mexique, galerie Renou et Colle, 2009-2010, Subversion des images, centre Pompidou
ExpositionsManuel Alvarez Bravo: un photographe aux aguets (1902-2002) , La Subversion des images | Photographie surréaliste
Lien permanenthttps://cms.andrebreton.fr/fr/work/56600100695510
Lieu d'origine

Notice reliée à :

1 Œuvre
 
False

Minotaure, 12-13

-
André Breton, Léon Corcuff, Pierre Courthion, Jean Giono, Maurice Heine, Madelaine Landsberg, Georg-Christoph Lichtenberg, Pierre Mabille, Pierre Ménard, Benjamin Péret, Kurt Seligmann

-

Dernier numéro, daté de mai 1939, de la revue lancée en 1933 par Albert Skira.
Trois images, une notice descriptive, une série.

[Revue] Minotaure

Deux demi-sœurs

Les Jeux de la poupée

Photographie

Auteur

Personne citée Paul Éluard
Artiste Hans Bellmer
Photographe Hans Bellmer

Descriptif

Photographie de la Poupée de Hans Bellmer datée entre 1933 et 1935 et publiée dans Les jeux de la Poupée en 1949 accompagnée d'un poème de Paul Éluard.

« Cette image accompagne le poème n° VI de Paul Éluard :
"La nuit rayonne à sa manière, des yeux au cœur.
La nuit annule le sensible, le seul espace pur."
Elle a été tirée en carte-postale pour Jeanne Bucher par Georges Hugnet (en 1937-1938) et porte le n° 8 de la série des vingt-quatre "cartes postales surréalistes" sous le titre de "Deux demi-sœurs" ». (Paris, Musée national d'art moderne / Centre Georges Pompidou, Hans Bellmer, photographe, 1983-1984, p. 147)

L'une des 24 épreuves gélatino-argentiques coloriées à l'aniline et montées sur pages cartonnées de 12,5 x 9,5, ajoutées de 8 pages de textes manuscrits de Paul Éluard numérotés de I à IX.

Hans Bellmer
« On ne sait comment Robert Valançay et Henri Parisot entrèrent en contact avec Bellmer, mais toujours est-il que celui-ci participa durant l'hiver 1934-1935 à quelques séances du groupe de la Place Blanche et que dès lors, son œuvre photographique figure en bonne place dans toutes les manifestations "officielles" du groupe surréaliste. Non seulement le Minotaure publie en décembre 1934, 18 vues de la Poupée, mais encore il récidive en 1935 où 3 photos illustrent "Appliquées" d'Éluard, puis en 1936 (2 photos) et en 1937 (1 photo) tandis que des œuvres (photographies et dessins) figurent dans toutes les expositions surréalistes à Ténérife (1935), Londres (1936), Tokyo (1937), New York et Paris (1938).
Cette rencontre avec l'"atmosphère spirituelle du Café de la Place Blanche" (Lettre à R. Valençay, Berlin, 5.3.1935) et le groupe surréaliste constitue une étape essentielle. Non seulement il se lance, dès son retour à Berlin, dans la fabrication d'une nouvelle Poupée qui sera achevée à l'automne de l'année 1935, mais il multipliera, une fois celle-ci terminée, les photographies. » Alain Sayag (Paris, Musée national d'art moderne / Centre Georges Pompidou, Hans Bellmer, photographe, 1983-1984, p. 10).

 

 

 

Bibliographie

- Les Jeux de la Poupée, Paris, les Éditions Premières, 1949, p. 51 (autre tirage)
- Hans Bellmer, Die Puppe, Berlin, Gerhardt Verlag, 1962, rep.sp. (autre tirage)
- «Bellmer», In : Obliques, numéro spécial, 1979, rep.p. 100 (autre tirage)
- Edouard Jaguer, Les Mystères de la chambre noire, Paris, Flammarion, 1982, p. 66
- Paris, Musée national d'art moderne / Centre Georges Pompidou, Hans Bellmer, photographe, 1983-1984, rep.p. 89, n° 105, pp. 146-147 (autre tirage)
- Paris, Musée national d'art moderne/ Centre Georges Pompidou, La Subversion des images: Surréalisme, photographie, film, 2009, rep.p. 118

- Paris, Musée national d'art moderne / Centre Georges Pompidou, La Révolution surréaliste, 2002, rep.p. 247, p. 431
- Düsseldorf, K20 Kunstsammlung Nordrhein-Westfalen, Surrealismus 1919-1944, 2002, rep.p. 255, p. 452

Date de création1933-1935
Date d'édition1949
Notes25 x 22,5 cm (9 7/8 x 8 7/8 in.) - Tirage coloré à l'aniline
Crédit© ADAGP, Paris, 2005.
Référence3028000
Vente Breton 2003Lot 5305
Mots-clés, ,
Catégories[Photos] 1931-1939
Série2009-2010, Subversion des images, centre Pompidou
ExpositionsLa Subversion des images | Photographie surréaliste , Réunions du groupe place Blanche
Lien permanenthttps://cms.andrebreton.fr/fr/work/56600100037790
Lieu d'exposition

Photomaton de Suzanne Muzard

S. Muzard

Photographie

Auteur

Personnes citées Melmoth, Suzanne Muzard, ép. Cordonnier

Descriptif

Portrait photomaton de Muzard réalisé c. 1929, avec Melmoth, le chien d'André Breton

Photographie faisant partie des photomatons utilisés par André Breton pour encadrer le tableau de Magritte Je ne vois pas la femme cachée dans la forêt reproduit dans La Révolution surréaliste n°12 du 15 décembre 1929. (ancienne information erronée)

 

La première cabine est installée à Paris en décembre 1928 dans le hall du journal L’Intransigeant. Dès  l’année suivante, on en trouve d’autres : dans le hall du Petit-Journal, aux Galeries Lafayette, Chez Sam’s, un restaurant franco-anglo-saxon du 26 boulevard des Italiens mais aussi à Luna Park, porte Maillot.  C’est sans doute là que le groupe surréaliste entame plusieurs séries de photomaton. Les premiers sont reproduits dans La Révolution surréaliste, en décembre 1929.

Il en existe plusieurs séries que l’on peut noter aux tenues variées des protagonistes qui changent selon les saisons : si certains n’ont posé qu’une seule fois (Fourrier, Bunuel, Mégret, Magritte, Jean Aurenche, Unik, Nougé, Goemans, Dali, Alexandre, Valentin, Gazelle et Marcel Duhamel, Simone Prévert, Jeannette Tanguy, Morise ou Caupenne) ; d’autres à peine deux fois avec ou sans chapeau (Boiffard, Tanguy, Queneau, Pierre Prévert, Mesens, Unik, Aagon) ; nous voyons au moins 3 passages en cabine pour Breton, Ernst, Eluard, Marie-Berthe Aurenche et Jacques Prévert) ; quant à Suzanne Muzard, elle arbore pas moins de huit ensembles différents – que ce soit robe, veste ou chapeau…

[Anne Egger, 2023, Atelier André Breton]

 

 

Bibliographie

- Paris, Musée national d'art moderne/ Centre Georges Pompidou, La Subversion des images: Surréalisme, photographie, film, 2009, rep.p. 53 // Winterthour (Suisse), Fotomuseum Winterthur, 26 février 2010-23 mai 2010 // Madrid (Espagne), Instituto de Cultura/ Fundacion Mapfre, 11 juin 2010-12 septembre 2010

- Derrière le Rideau - l'Esthétique du Photomaton : Lausanne (Suisse), Musée de l'Elysée Un musée pour la photographie, 17 février 2012-20 mai 2012 // Bruxelles (Belgique), Centre culturel du Botanique, 28 juin 2012-26 août 2012 // Vienne (Autriche), KunstHausWien, 11 octobre 2012-13 janvier 2013

Date de créationcirca 1929
NotesÉpreuve gélatino-argentique
5,2 x 3,8 cm
Lieu d'origine
Musée

Musée national d'Art moderne, Centre Pompidou, Paris : AM 2003-288(8)

Crédit© G. Meguerditchian/Centre Pompidou, MNAM-CCI
Référencelot_5265_10
Mots-clés, , , ,
CatégoriesPhotographies, [Photos] 1924-1930
Série2009-2010, Subversion des images, centre Pompidou
ExpositionLa Subversion des images | Photographie surréaliste
Lien permanenthttps://cms.andrebreton.fr/fr/work/56600100435890
Lieu d'origine

Descriptif

Photomatons c. 1929 utilisés par André Breton pour encadrer le tableau de Magritte Je ne vois pas la femme cachée dans la forêt.

Le tableau est reproduit dans La Révolution surréaliste n° 12 du 15 décembre 1929.
10 tirages (certains comportant plusieurs portraits sur une même bande).

 

La première cabine est installée à Paris en décembre 1928 dans le hall du journal L’Intransigeant. Dès  l’année suivante, on en trouve d’autres : dans le hall du Petit-Journal, aux Galeries Lafayette, Chez Sam’s, un restaurant franco-anglo-saxon du 26 boulevard des Italiens mais aussi à Luna Park, porte Maillot.  C’est sans doute là que le groupe surréaliste entame plusieurs séries de photomaton. Les premiers sont reproduits dans La Révolution surréaliste, en décembre 1929.

Il en existe plusieurs séries que l’on peut noter aux tenues variées des protagonistes qui changent selon les saisons : si certains n’ont posé qu’une seule fois (Fourrier, Bunuel, Mégret, Magritte, Jean Aurenche, Unik, Nougé, Goemans, Dali, Alexandre, Valentin, Gazelle et Marcel Duhamel, Simone Prévert, Jeannette Tanguy, Morise ou Caupenne) ; d’autres à peine deux fois avec ou sans chapeau (Boiffard, Tanguy, Queneau, Pierre Prévert, Mesens, Unik, Aagon) ; nous voyons au moins 3 passages en cabine pour Breton, Ernst, Eluard, Marie-Berthe Aurenche et Jacques Prévert) ; quant à Suzanne Muzard, elle arbore pas moins de huit ensembles différents – que ce soit robe, veste ou chapeau…

[Anne Egger, 2023, Atelier André Breton]

De gauche à droite, image par image :
image 1 - Paul Éluard,
image 2 - René Magritte,
image 3 - Yves Tanguy,
images 4 et 5 - Luis Buñuel,
image 6 - André Breton,
image 7 - Salvador Dalí,
image 8 - Max Ernst,
images 9 et 10 - Louis Aragon. [catalogue de la vente, 2003]

[Anne Egger, 2023, site André Breton]

 

 

 

Bibliographie

- La Révolution surréaliste, cinquième année, n° 12, 15 décembre 1929, rep.s.p.
- Paris, Musée national d'art moderne - Centre Georges Pompidou, André Breton, la beauté convulsive, 1991, rep.p. 193 (photos reproduites en partie)
- Paris, Musée national d'art moderne / Centre Georges Pompidou, La Subversion des images, 2009, rep.pp. 49-57 (photos reproduites en partie)

 

Date de créationc. 1929
NotesTirages argentiques sur papier
Lieu d'origine
Référence4104000
Vente Breton 2003Lot 5113
Mots-clés, , ,
Catégories[Photos] 1924-1930
Série2009-2010, Subversion des images, centre Pompidou
ExpositionsFêtes foraines et Photomaton , La Subversion des images | Photographie surréaliste
Lien permanenthttps://cms.andrebreton.fr/fr/work/56600100692670
Lieu d'origine
Lieux d'exposition

Notice reliée à :

1 Œuvre
 
False

La femme cachée

-
René Magritte

-

Huile sur toile de 1929 réalisée par Magritte lors de son séjour à Paris.

Une image, une longue notice descriptive, une exposition, une bibliographie.

1938, Exposition internationale du Surréalisme, [Revue] La Révolution surréaliste

Photomaton de Marcel Duhamel

Photographie

Auteur

Personne citée Marcel Duhamel

Descriptif

Portrait photomaton de Marcel Duhamel réalisé c. 1929 pour encadrer le tableau de Magritte Je ne vois pas la femme cachée dans la forêt.

Photographie faisant partie des photomatons utilisés par André Breton pour encadrer le tableau de Magritte Je ne vois pas la femme cachée dans la forêt reproduit dans La Révolution surréaliste n°12 du 15 décembre 1929. Est représenté : Marcel Duhamel.

 

La première cabine est installée à Paris en décembre 1928 dans le hall du journal L’Intransigeant. Dès  l’année suivante, on en trouve d’autres : dans le hall du Petit-Journal, aux Galeries Lafayette, Chez Sam’s, un restaurant franco-anglo-saxon du 26 boulevard des Italiens mais aussi à Luna Park, porte Maillot.  C’est sans doute là que le groupe surréaliste entame plusieurs séries de photomaton. Les premiers sont reproduits dans La Révolution surréaliste, en décembre 1929.

Il en existe plusieurs séries que l’on peut noter aux tenues variées des protagonistes qui changent selon les saisons : si certains n’ont posé qu’une seule fois (Fourrier, Bunuel, Mégret, Magritte, Jean Aurenche, Unik, Nougé, Goemans, Dali, Alexandre, Valentin, Gazelle et Marcel Duhamel, Simone Prévert, Jeannette Tanguy, Morise ou Caupenne) ; d’autres à peine deux fois avec ou sans chapeau (Boiffard, Tanguy, Queneau, Pierre Prévert, Mesens, Unik, Aagon) ; nous voyons au moins 3 passages en cabine pour Breton, Ernst, Eluard, Marie-Berthe Aurenche et Jacques Prévert) ; quant à Suzanne Muzard, elle arbore pas moins de huit ensembles différents – que ce soit robe, veste ou chapeau…

[Anne Egger, 2023, Atelier André Breton]

 

 

Bibliographie

- Paris, Musée national d'art moderne/ Centre Georges Pompidou, La Subversion des images: Surréalisme, photographie, film, 2009, rep.p. 54 // Winterthour (Suisse), Fotomuseum Winterthur, 26 février 2010-23 mai 2010 // Madrid (Espagne), Instituto de Cultura/ Fundacion Mapfre, 11 juin 2010-12 septembre 2010

Date de créationcirca 1929
NotesÉpreuve gélatino-argentique
21,5 x 3,8 cm
Lieu d'origine
Musée

Musée national d'Art moderne, Centre Pompidou, Paris : AM 2003-288(7)

Crédit© G. Meguerditchian/Centre Pompidou, MNAM-CCI
Référencelot_5265_9
Mots-clés, , , , ,
CatégoriesPhotographies, [Photos] 1924-1930
Série2009-2010, Subversion des images, centre Pompidou
ExpositionsFêtes foraines et Photomaton , La Subversion des images | Photographie surréaliste
Lien permanenthttps://cms.andrebreton.fr/fr/work/56600100990470
Lieu d'origine
Lieux d'exposition

Photomaton d'Albert Valentin

Albert Valentin

Photographie

Auteur

Personne citée Albert Valentin

Descriptif

Portrait photomaton de Valentin réalisé c. 1929 pour le montage Je ne vois pas la femme cachée dans la forêt.

Photographie faisant partie des photomatons utilisés par André Breton pour encadrer le tableau de Magritte Je ne vois pas la femme cachée dans la forêt reproduit dans La Révolution surréaliste n°12 du 15 décembre 1929. Est représenté : Albert Valentin. [catalogue de la vente, 2003]

 

La première cabine est installée à Paris en décembre 1928 dans le hall du journal L’Intransigeant. Dès  l’année suivante, on en trouve d’autres : dans le hall du Petit-Journal, aux Galeries Lafayette, Chez Sam’s, un restaurant franco-anglo-saxon du 26 boulevard des Italiens mais aussi à Luna Park, porte Maillot.  C’est sans doute là que le groupe surréaliste entame plusieurs séries de photomaton. Les premiers sont reproduits dans La Révolution surréaliste, en décembre 1929.

Il en existe plusieurs séries que l’on peut noter aux tenues variées des protagonistes qui changent selon les saisons : si certains n’ont posé qu’une seule fois (Fourrier, Bunuel, Mégret, Magritte, Jean Aurenche, Unik, Nougé, Goemans, Dali, Alexandre, Valentin, Gazelle et Marcel Duhamel, Simone Prévert, Jeannette Tanguy, Morise ou Caupenne) ; d’autres à peine deux fois avec ou sans chapeau (Boiffard, Tanguy, Queneau, Pierre Prévert, Mesens, Unik, Aagon) ; nous voyons au moins 3 passages en cabine pour Breton, Ernst, Eluard, Marie-Berthe Aurenche et Jacques Prévert) ; quant à Suzanne Muzard, elle arbore pas moins de huit ensembles différents – que ce soit robe, veste ou chapeau…

[Anne Egger, 2023, Atelier André Breton]

 

 

 

Bibliographie

- Paris, Musée national d'art moderne/ Centre Georges Pompidou, La Subversion des images: Surréalisme, photographie, film, 2009, rep.p. 56 // Winterthour (Suisse), Fotomuseum Winterthur, 26 février 2010-23 mai 2010 // Madrid (Espagne), Instituto de Cultura/ Fundacion Mapfre, 11 juin 2010-12 septembre 2010

Date de créationcirca 1929
NotesÉpreuve gélatino-argentique
30 x 3,8 cm
Lieu d'origine
Musée

Musée national d'Art moderne, Centre Pompidou, Paris : AM 2003-287(7)

Dimensions30,00 x 3,80 cm
Crédit© G. Meguerditchian/Centre Pompidou, MNAM-CCI
Référence4232009
Vente Breton 2003Lot 5263
Mots-clés, , , ,
CatégoriesPhotographies, [Photos] 1924-1930
Série2009-2010, Subversion des images, centre Pompidou
ExpositionsFêtes foraines et Photomaton , La Subversion des images | Photographie surréaliste
Lien permanenthttps://cms.andrebreton.fr/fr/work/56600100646880
Lieu d'origine
Lieux d'exposition

Photomaton de Paul Nougé

P. Nougé

Photographie

Auteur

Personne citée Paul Nougé

Descriptif

Portrait photomaton de Paul Nougé réalisé c. 1929 pour encadrer le tableau de Magritte Je ne vois pas la femme cachée dans la forêt.

Photographie faisant partie des photomatons utilisés par André Breton pour encadrer le tableau de Magritte Je ne vois pas la femme cachée dans la forêt reproduit dans La Révolution surréaliste n°12 du 15 décembre 1929. Est représenté : Paul Nougé.

 

La première cabine est installée à Paris en décembre 1928 dans le hall du journal L’Intransigeant. Dès  l’année suivante, on en trouve d’autres : dans le hall du Petit-Journal, aux Galeries Lafayette, Chez Sam’s, un restaurant franco-anglo-saxon du 26 boulevard des Italiens mais aussi à Luna Park, porte Maillot.  C’est sans doute là que le groupe surréaliste entame plusieurs séries de photomaton. Les premiers sont reproduits dans La Révolution surréaliste, en décembre 1929.

Il en existe plusieurs séries que l’on peut noter aux tenues variées des protagonistes qui changent selon les saisons : si certains n’ont posé qu’une seule fois (Fourrier, Bunuel, Mégret, Magritte, Jean Aurenche, Unik, Nougé, Goemans, Dali, Alexandre, Valentin, Gazelle et Marcel Duhamel, Simone Prévert, Jeannette Tanguy, Morise ou Caupenne) ; d’autres à peine deux fois avec ou sans chapeau (Boiffard, Tanguy, Queneau, Pierre Prévert, Mesens, Unik, Aagon) ; nous voyons au moins 3 passages en cabine pour Breton, Ernst, Eluard, Marie-Berthe Aurenche et Jacques Prévert) ; quant à Suzanne Muzard, elle arbore pas moins de huit ensembles différents – que ce soit robe, veste ou chapeau…

[Anne Egger, 2023, Atelier André Breton]

 

 

 

Bibliographie

- La Révolution surréaliste, cinquième année, n° 12, 15 décembre 1929.
De gauche à droite et de haut en bas : Alexandre, Aragon, Breton, Buñuel, Caupenne, Dalí, Éluard, Ernst, Fournier, Goemans, Magritte, Nougé, Sadoul, Tanguy, Thirion, Valentin.


- Paris, Musée national d'art moderne/ Centre Georges Pompidou, La Subversion des images: Surréalisme, photographie, film, 2009, rep. p. 56  // Winterthour (Suisse), Fotomuseum Winterthur, 26 février 2010-23 mai 2010 // Madrid (Espagne), Instituto de Cultura/ Fundacion Mapfre, 11 juin 2010-12 septembre 2010

 

Date de créationcirca 1929
NotesÉpreuve gélatino-argentique
10 x 3,8 cm
Lieu d'origine
Musée

Musée national d'Art moderne, Centre Pompidou, Paris : AM 2003-288(2)

Dimensions10,00 x 3,80 cm
Crédit© G. Meguerditchian/Centre Pompidou, MNAM-CCI
Référence4232003
Vente Breton 2003Lot 5265
Mots-clés, , , ,
CatégoriesPhotographies, [Photos] 1924-1930
Série2009-2010, Subversion des images, centre Pompidou
ExpositionsFêtes foraines et Photomaton , La Subversion des images | Photographie surréaliste
Lien permanenthttps://cms.andrebreton.fr/fr/work/56600100790420
Lieu d'origine
Lieux d'exposition

Notice reliée à :

1 Œuvre
 
False

La Révolution Surréaliste

-

Collection complète de la plus célèbre et importante revue surréaliste, La Révolution Surréaliste. 12 numéros en 11 fascicules du 1er décembre 1924 au 15 décembre 1929.


Vingt-neuf images, une notice, une exposition, une bibliographie

[Revue] La Révolution surréaliste

Photomaton d'Yves Tanguy

Yves Tanguy

Photographie

Auteur

Personne citée Yves Tanguy

Descriptif

Portrait photomaton de Tanguy réalisé c 1929.

Photographie faisant partie des photomatons utilisés par André Breton pour encadrer le tableau de Magritte Je ne vois pas la femme cachée dans la forêt reproduit dans La Révolution surréaliste n°12 du 15 décembre 1929. Est représenté : Yves Tanguy.[catalogue de la vente, 2003] (ancienne information erronée)

 

La première cabine est installée à Paris en décembre 1928 dans le hall du journal L’Intransigeant. Dès  l’année suivante, on en trouve d’autres : dans le hall du Petit-Journal, aux Galeries Lafayette, Chez Sam’s, un restaurant franco-anglo-saxon du 26 boulevard des Italiens mais aussi à Luna Park, porte Maillot.  C’est sans doute là que le groupe surréaliste entame plusieurs séries de photomaton. Les premiers sont reproduits dans La Révolution surréaliste, en décembre 1929.

Il en existe plusieurs séries que l’on peut noter aux tenues variées des protagonistes qui changent selon les saisons : si certains n’ont posé qu’une seule fois (Fourrier, Bunuel, Mégret, Magritte, Jean Aurenche, Unik, Nougé, Goemans, Dali, Alexandre, Valentin, Gazelle et Marcel Duhamel, Simone Prévert, Jeannette Tanguy, Morise ou Caupenne) ; d’autres à peine deux fois avec ou sans chapeau (Boiffard, Tanguy, Queneau, Pierre Prévert, Mesens, Unik, Aagon) ; nous voyons au moins 3 passages en cabine pour Breton, Ernst, Eluard, Marie-Berthe Aurenche et Jacques Prévert) ; quant à Suzanne Muzard, elle arbore pas moins de huit ensembles différents – que ce soit robe, veste ou chapeau…

[Anne Egger, 2023, Atelier André Breton]

 

 

 

Bibliographie

- Photographie : acquisitions récentes (2003-2007) : Paris (France), centre Pompidou, Musée national d'art moderne, 07 novembre 2007-07 janvier 2008

- Le sabotage du réel- L'esprit surréaliste dans la photographie européenne, 1922-1947 : Tallinn (Estonie), Eesti Kunstimuuseum / Kumu Art Museum, 30 octobre 2008-11 janvier 2009 // Istanbul (Turquie), Istanbul Modern Art Museum, 03 février 2009-26 avril 2009 // Puebla (Mexique), Museo Amparo, 12 juin 2009-31 août 2009

- Paris, Musée national d'art moderne/ Centre Georges Pompidou, La Subversion des images: Surréalisme, photographie, film, 2009, rep.p. 51 // Winterthour (Suisse), Fotomuseum Winterthur, 26 février 2010-23 mai 2010 // Madrid (Espagne), Instituto de Cultura/ Fundacion Mapfre, 11 juin 2010-12 septembre 2010

- Derrière le Rideau - l'Esthétique du Photomaton : Lausanne (Suisse), Musée de l'Élysée Un musée pour la photographie, 17 février 2012-20 mai 2012 // Bruxelles (Belgique), Centre culturel du Botanique, 28 juin 2012-26 août 2012 // Vienne (Autriche), KunstHausWien, 11 octobre 2012-13 janvier 2013

 

Date de créationcirca 1929
NotesÉpreuve gélatino-argentique
15,3 x 3,8 cm
Lieu d'origine
Musée

Musée national d'Art moderne, Centre Pompidou, Paris : AM 2003-287(6)

Dimensions15,30 x 3,80 cm
Crédit© G. Meguerditchian/Centre Pompidou, MNAM-CCI
Référence4232009
Vente Breton 2003Lot 5263
Mots-clés, , , ,
CatégoriesPhotographies, [Photos] 1924-1930
Série2009-2010, Subversion des images, centre Pompidou
ExpositionLa Subversion des images | Photographie surréaliste
Lien permanenthttps://cms.andrebreton.fr/fr/work/56600100550660
Lieu d'origine

Photomaton des frères Prévert

P. et J. Prévert

Photographie

Auteur

Personnes citées Jacques Prévert, Pierre Prévert

Descriptif

Portrait photomaton de Pierre et Jacques Prévert réalisé c. 1929.  

Photographie faisant partie des photomatons utilisés par André Breton pour encadrer le tableau de Magritte Je ne vois pas la femme cachée dans la forêt reproduit dans La Révolution surréaliste n°12 du 15 décembre 1929. (ancienne information erronée)

 

La première cabine est installée à Paris en décembre 1928 dans le hall du journal L’Intransigeant. Dès  l’année suivante, on en trouve d’autres : dans le hall du Petit-Journal, aux Galeries Lafayette, Chez Sam’s, un restaurant franco-anglo-saxon du 26 boulevard des Italiens mais aussi à Luna Park, porte Maillot.  C’est sans doute là que le groupe surréaliste entame plusieurs séries de photomaton. Les premiers sont reproduits dans La Révolution surréaliste, en décembre 1929.

Il en existe plusieurs séries que l’on peut noter aux tenues variées des protagonistes qui changent selon les saisons : si certains n’ont posé qu’une seule fois (Fourrier, Bunuel, Mégret, Magritte, Jean Aurenche, Unik, Nougé, Goemans, Dali, Alexandre, Valentin, Gazelle et Marcel Duhamel, Simone Prévert, Jeannette Tanguy, Morise ou Caupenne) ; d’autres à peine deux fois avec ou sans chapeau (Boiffard, Tanguy, Queneau, Pierre Prévert, Mesens, Unik, Aagon) ; nous voyons au moins 3 passages en cabine pour Breton, Ernst, Eluard, Marie-Berthe Aurenche et Jacques Prévert) ; quant à Suzanne Muzard, elle arbore pas moins de huit ensembles différents – que ce soit robe, veste ou chapeau…

[Anne Egger, 2023, Atelier André Breton]

 

 

Bibliographie

- Photographie : acquisitions récentes (2003-2007) : Paris (France), centre Pompidou Musée national d'art moderne, 07 novembre 2007-07 janvier 2008

- Jacques Prévert, Paris la belle : Paris (France), Direction de l'information et de la Communication, 24 octobre 2008-28 février 2009

- Paris, Musée national d'art moderne/ Centre Georges Pompidou, La Subversion des images: Surréalisme, photographie, film, 2009, rep.p. 54 // Winterthour (Suisse), Fotomuseum Winterthur, 26 février 2010-23 mai 2010 // Madrid (Espagne), Instituto de Cultura/ Fundacion Mapfre, 11 juin 2010-12 septembre 2010

- Derrière le Rideau - l'Esthétique du Photomaton : Lausanne (Suisse), Musée de l'Élysée Un musée pour la photographie, 17 février 2012-20 mai 2012 // Bruxelles (Belgique), Centre culturel du Botanique, 28 juin 2012-26 août 2012 // Vienne (Autriche), KunstHausWien, 11 octobre 2012-13 janvier 2013

Date de créationcirca 1929
NotesÉpreuve gélatino-argentique
21, 2 x 3,8 cm
Lieu d'origine
Musée

Musée national d'Art moderne, Centre Pompidou, Paris : AM 2003-288(4)

Crédit© G. Meguerditchian/Centre Pompidou, MNAM-CCI
Référencelot_5265_5
Mots-clés, , , ,
CatégoriesPhotographies, [Photos] 1924-1930
Série2009-2010, Subversion des images, centre Pompidou
ExpositionLa Subversion des images | Photographie surréaliste
Lien permanenthttps://cms.andrebreton.fr/fr/work/56600100843650
Lieu d'origine

Photomaton d'André Breton

A. Breton

Photographie

Auteur

Personne citée André Breton

Descriptif

Portrait photomaton de Breton réalisé c. 1929 pour encadrer le tableau de Magritte Je ne vois pas la femme cachée dans la forêt.

Photographie faisant partie des photomatons utilisés par André Breton pour encadrer le tableau de Magritte Je ne vois pas la femme cachée dans la forêt reproduit dans La Révolution surréaliste n°12 du 15 décembre 1929. Est représenté : André Breton. [catalogue de la vente, 2003]

 

La première cabine est installée à Paris en décembre 1928 dans le hall du journal L’Intransigeant. Dès  l’année suivante, on en trouve d’autres : dans le hall du Petit-Journal, aux Galeries Lafayette, Chez Sam’s, un restaurant franco-anglo-saxon du 26 boulevard des Italiens mais aussi à Luna Park, porte Maillot.  C’est sans doute là que le groupe surréaliste entame plusieurs séries de photomaton. Les premiers sont reproduits dans La Révolution surréaliste, en décembre 1929.

Il en existe plusieurs séries que l’on peut noter aux tenues variées des protagonistes qui changent selon les saisons : si certains n’ont posé qu’une seule fois (Fourrier, Bunuel, Mégret, Magritte, Jean Aurenche, Unik, Nougé, Goemans, Dali, Alexandre, Valentin, Gazelle et Marcel Duhamel, Simone Prévert, Jeannette Tanguy, Morise ou Caupenne) ; d’autres à peine deux fois avec ou sans chapeau (Boiffard, Tanguy, Queneau, Pierre Prévert, Mesens, Unik, Aagon) ; nous voyons au moins 3 passages en cabine pour Breton, Ernst, Eluard, Marie-Berthe Aurenche et Jacques Prévert) ; quant à Suzanne Muzard, elle arbore pas moins de huit ensembles différents – que ce soit robe, veste ou chapeau…

[Anne Egger, 2023, Atelier André Breton]

 

 

 

Bibliographie

- La Révolution surréaliste, cinquième année, n° 12, 15 décembre 1929.
De gauche à droite et de haut en bas : Alexandre, Aragon, Breton, Buñuel, Caupenne, Dalí, Éluard, Ernst, Fournier, Goemans, Magritte, Nougé, Sadoul, Tanguy, Thirion, Valentin.
- Paris, Musée national d'art moderne - Centre Georges Pompidou, André Breton, la beauté convulsive, 1991, rep. p. 193

- Le sabotage du réel- L'esprit surréaliste dans la photographie européenne, 1922-1947 : Tallinn (Estonie), Eesti Kunstimuuseum / Kumu Art Museum, 30 octobre 2008-11 janvier 2009 // Istanbul (Turquie), Istanbul Modern Art Museum, 03 février 2009-26 avril 2009 // Puebla (Mexique), Museo Amparo, 12 juin 2009-31 août 2009
- Paris, Musée national d'art moderne/ Centre Georges Pompidou, La Subversion des images: Surréalisme, photographie, film, 2009, rep. p. 51  // Winterthour (Suisse), Fotomuseum Winterthur, 26 février 2010-23 mai 2010 // Madrid (Espagne), Instituto de Cultura/ Fundacion Mapfre, 11 juin 2010-12 septembre 2010

- Derrière le Rideau - l'Esthétique du Photomaton : Lausanne (Suisse), Musée de l'Élysée Un musée pour la photographie, 17 février 2012-20 mai 2012 // Bruxelles (Belgique), Centre culturel du Botanique, 28 juin 2012-26 août 2012 // Vienne (Autriche), KunstHausWien, 11 octobre 2012-13 janvier 2013

 

Date de créationcirca 1929
NotesÉpreuve gélatino-argentique
Lieu d'origine
Musée

Musée national d'Art moderne, Centre Pompidou, Paris : AM 2003-287(4)

Crédit© G. Meguerditchian/Centre Pompidou, MNAM-CCI
Référence4232003
Vente Breton 2003Lot 5265
Mots-clés, , , ,
CatégoriesPhotographies, [Photos] 1924-1930
Série2009-2010, Subversion des images, centre Pompidou
ExpositionLa Subversion des images | Photographie surréaliste
Lien permanenthttps://cms.andrebreton.fr/fr/work/56600100316070
Lieu d'origine

Notice reliée à :

2 Œuvres
 
False

Photomaton d'André Breton

-

Portrait photomaton de Breton réalisé c. 1929 pour encadrer le tableau de Magritte Je ne vois pas la femme cachée dans la forêt.

Trois images, une notice descriptive, des expositions, une bibliographie.

2009-2010, Subversion des images, centre Pompidou

False

La Révolution Surréaliste

-

Collection complète de la plus célèbre et importante revue surréaliste, La Révolution Surréaliste. 12 numéros en 11 fascicules du 1er décembre 1924 au 15 décembre 1929.


Vingt-neuf images, une notice, une exposition, une bibliographie

[Revue] La Révolution surréaliste

Photomaton de Raymond Queneau

R. Queneau

Photographie

Auteur

Personne citée Raymond Queneau

Descriptif

Portrait photomaton de Queneau réalisé c. 1929 

Photographie faisant partie des photomatons utilisés par André Breton pour encadrer le tableau de Magritte Je ne vois pas la femme cachée dans la forêt reproduit dans La Révolution surréaliste n°12 du 15 décembre 1929. .[catalogue de la vente, 2003] (ancienne information erronée)

 

La première cabine est installée à Paris en décembre 1928 dans le hall du journal L’Intransigeant. Dès  l’année suivante, on en trouve d’autres : dans le hall du Petit-Journal, aux Galeries Lafayette, Chez Sam’s, un restaurant franco-anglo-saxon du 26 boulevard des Italiens mais aussi à Luna Park, porte Maillot.  C’est sans doute là que le groupe surréaliste entame plusieurs séries de photomaton. Les premiers sont reproduits dans La Révolution surréaliste, en décembre 1929.

Il en existe plusieurs séries que l’on peut noter aux tenues variées des protagonistes qui changent selon les saisons : si certains n’ont posé qu’une seule fois (Fourrier, Bunuel, Mégret, Magritte, Jean Aurenche, Unik, Nougé, Goemans, Dali, Alexandre, Valentin, Gazelle et Marcel Duhamel, Simone Prévert, Jeannette Tanguy, Morise ou Caupenne) ; d’autres à peine deux fois avec ou sans chapeau (Boiffard, Tanguy, Queneau, Pierre Prévert, Mesens, Unik, Aagon) ; nous voyons au moins 3 passages en cabine pour Breton, Ernst, Eluard, Marie-Berthe Aurenche et Jacques Prévert) ; quant à Suzanne Muzard, elle arbore pas moins de huit ensembles différents – que ce soit robe, veste ou chapeau…

[Anne Egger, 2023, Atelier André Breton]

 

 

 

Bibliographie

- Paris, Musée national d'art moderne/ Centre Georges Pompidou, La Subversion des images: Surréalisme, photographie, film, 2009, rep.p. 55 // Winterthour (Suisse), Fotomuseum Winterthur, 26 février 2010-23 mai 2010 // Madrid (Espagne), Instituto de Cultura/ Fundacion Mapfre, 11 juin 2010-12 septembre 2010

- Derrière le Rideau - l'Esthétique du Photomaton : Lausanne (Suisse), Musée de l'Élysée Un musée pour la photographie, 17 février 2012-20 mai 2012 // Bruxelles (Belgique), Centre culturel du Botanique, 28 juin 2012-26 août 2012 // Vienne (Autriche), KunstHausWien, 11 octobre 2012-13 janvier 2013

 

Date de créationcirca 1929
NotesÉpreuve gélatino-argentique
20,5 x 3,8 cm
Lieu d'origine
Musée

Musée national d'Art moderne, Centre Pompidou, Paris : AM 2003-287(8)

Dimensions20,50 x 3,80 cm
Crédit© G. Meguerditchian/Centre Pompidou, MNAM-CCI
Référence4232009
Vente Breton 2003Lot 5263
Mots-clés, , , ,
CatégoriesPhotographies, [Photos] 1924-1930
Série2009-2010, Subversion des images, centre Pompidou
ExpositionLa Subversion des images | Photographie surréaliste
Lien permanenthttps://cms.andrebreton.fr/fr/work/56600100625030
Lieu d'origine

Photomaton de Max Ernst

M.Ernst

Photographie

Auteur

Personne citée Max Ernst

Descriptif

Portrait photomaton de Max Ernst réalisé c. 1929 

Photographie faisant partie des photomatons utilisés par André Breton pour encadrer le tableau de Magritte Je ne vois pas la femme cachée dans la forêt reproduit dans La Révolution surréaliste n°12 du 15 décembre 1929. (ancienne information erronée)

 

La première cabine est installée à Paris en décembre 1928 dans le hall du journal L’Intransigeant. Dès  l’année suivante, on en trouve d’autres : dans le hall du Petit-Journal, aux Galeries Lafayette, Chez Sam’s, un restaurant franco-anglo-saxon du 26 boulevard des Italiens mais aussi à Luna Park, porte Maillot.  C’est sans doute là que le groupe surréaliste entame plusieurs séries de photomaton. Les premiers sont reproduits dans La Révolution surréaliste, en décembre 1929.

Il en existe plusieurs séries que l’on peut noter aux tenues variées des protagonistes qui changent selon les saisons : si certains n’ont posé qu’une seule fois (Fourrier, Bunuel, Mégret, Magritte, Jean Aurenche, Unik, Nougé, Goemans, Dali, Alexandre, Valentin, Gazelle et Marcel Duhamel, Simone Prévert, Jeannette Tanguy, Morise ou Caupenne) ; d’autres à peine deux fois avec ou sans chapeau (Boiffard, Tanguy, Queneau, Pierre Prévert, Mesens, Unik, Aagon) ; nous voyons au moins 3 passages en cabine pour Breton, Ernst, Eluard, Marie-Berthe Aurenche et Jacques Prévert) ; quant à Suzanne Muzard, elle arbore pas moins de huit ensembles différents – que ce soit robe, veste ou chapeau…

[Anne Egger, 2023, Atelier André Breton]

 

 

 

Bibliographie

- Mouvement des images [Présentation des collections permanentes] : Paris (France), centre Pompidou, Musée national d'art moderne, 01 avril 2006-31 janvier 2007

- Photographie : acquisitions récentes (2003-2007) : Paris (France), centre Pompidou, Musée national d'art moderne, 07 novembre 2007-07 janvier 2008

- Paris, Musée national d'art moderne/ Centre Georges Pompidou, La Subversion des images: Surréalisme, photographie, film, 2009, rep. p. 51  // Winterthour (Suisse), Fotomuseum Winterthur, 26 février 2010-23 mai 2010 // Madrid (Espagne), Instituto de Cultura/ Fundacion Mapfre, 11 juin 2010-12 septembre 2010

- Derrière le Rideau - l'Esthétique du Photomaton : Lausanne (Suisse), Musée de l'Élysée Un musée pour la photographie, 17 février 2012-20 mai 2012 // Bruxelles (Belgique), Centre culturel du Botanique, 28 juin 2012-26 août 2012 // Vienne (Autriche), KunstHausWien, 11 octobre 2012-13 janvier 2013

 

Date de créationcirca 1929
NotesÉpreuve gélatino-argentique
15,8 x 3,8 cm
Lieu d'origine
Musée

Musée national d'Art moderne, Centre Pompidou, Paris : AM 2003-288(1)

Dimensions15,80 x 3,80 cm
Crédit© G. Meguerditchian/Centre Pompidou, MNAM-CCI
Référence4232003
Vente Breton 2003Lot 5265
Mots-clés, , , ,
CatégoriesPhotographies, [Photos] 1924-1930
Série2009-2010, Subversion des images, centre Pompidou
ExpositionLa Subversion des images | Photographie surréaliste
Lien permanenthttps://cms.andrebreton.fr/fr/work/56600100177790
Lieu d'origine

Photomaton de Paul Éluard

P. Éluard

Photographie

Auteur

Personne citée Paul Éluard

Descriptif

Portrait photomaton d'Éluard réalisé c. 1929 pour encadrer le tableau de Magritte Je ne vois pas la femme cachée dans la forêt.

Photographie faisant partie des photomatons utilisés par André Breton pour encadrer le tableau de Magritte Je ne vois pas la femme cachée dans la forêt reproduit dans La Révolution surréaliste n°12 du 15 décembre 1929. Est représenté : Paul Éluard. [catalogue de la vente, 2003]

 

La première cabine est installée à Paris en décembre 1928 dans le hall du journal L’Intransigeant. Dès  l’année suivante, on en trouve d’autres : dans le hall du Petit-Journal, aux Galeries Lafayette, Chez Sam’s, un restaurant franco-anglo-saxon du 26 boulevard des Italiens mais aussi à Luna Park, porte Maillot.  C’est sans doute là que le groupe surréaliste entame plusieurs séries de photomaton. Les premiers sont reproduits dans La Révolution surréaliste, en décembre 1929.

Il en existe plusieurs séries que l’on peut noter aux tenues variées des protagonistes qui changent selon les saisons : si certains n’ont posé qu’une seule fois (Fourrier, Bunuel, Mégret, Magritte, Jean Aurenche, Unik, Nougé, Goemans, Dali, Alexandre, Valentin, Gazelle et Marcel Duhamel, Simone Prévert, Jeannette Tanguy, Morise ou Caupenne) ; d’autres à peine deux fois avec ou sans chapeau (Boiffard, Tanguy, Queneau, Pierre Prévert, Mesens, Unik, Aagon) ; nous voyons au moins 3 passages en cabine pour Breton, Ernst, Eluard, Marie-Berthe Aurenche et Jacques Prévert) ; quant à Suzanne Muzard, elle arbore pas moins de huit ensembles différents – que ce soit robe, veste ou chapeau…

[Anne Egger, 2023, Atelier André Breton]

 

 

Bibliographie

- La Révolution surréaliste, cinquième année, n° 12, 15 décembre 1929.
De gauche à droite et de haut en bas : Alexandre, Aragon, Breton, Buñuel, Caupenne, Dalí, Éluard, Ernst, Fournier, Goemans, Magritte, Nougé, Sadoul, Tanguy, Thirion, Valentin.
- Paris, Musée national d'art moderne - Centre Georges Pompidou, André Breton, la beauté convulsive, 1991, rep.p. 193

- Photographie : acquisitions récentes (2003-2007) : Paris (France), centre Pompidou Musée national d'art moderne, 07 novembre 2007-07 janvier 2008
- Paris, Musée national d'art moderne/ Centre Georges Pompidou, La Subversion des images: Surréalisme, photographie, film, 2009, rep.p. 53 // Winterthour (Suisse), Fotomuseum Winterthur, 26 février 2010-23 mai 2010 // Madrid (Espagne), Instituto de Cultura/ Fundacion Mapfre, 11 juin 2010-12 septembre 2010

- Derrière le Rideau - l'Esthétique du Photomaton : Lausanne (Suisse), Musée de l'Élysée Un musée pour la photographie, 17 février 2012-20 mai 2012 // Bruxelles (Belgique), Centre culturel du Botanique, 28 juin 2012-26 août 2012 // Vienne (Autriche), KunstHausWien, 11 octobre 2012-13 janvier 2013

 

Date de créationcirca 1929
NotesÉpreuve gélatino-argentique
5,3 x 3,8 cm
Lieu d'origine
Musée

Musée national d'Art moderne, Centre Pompidou, Paris : AM 2003-287(3)

Dimensions5,30 x 3,80 cm
Crédit© G. Meguerditchian/Centre Pompidou, MNAM-CCI
Référence4232009
Vente Breton 2003Lot 5263
Mots-clés, , , ,
CatégoriesPhotographies, [Photos] 1924-1930
Série2009-2010, Subversion des images, centre Pompidou
ExpositionLa Subversion des images | Photographie surréaliste
Lien permanenthttps://cms.andrebreton.fr/fr/work/56600100677950
Lieu d'origine

Notice reliée à :

2 Œuvres
 
False

La femme cachée

-
René Magritte

-

Huile sur toile de 1929 réalisée par Magritte lors de son séjour à Paris.

Une image, une longue notice descriptive, une exposition, une bibliographie.

1938, Exposition internationale du Surréalisme, [Revue] La Révolution surréaliste

False

La Révolution Surréaliste

-

Collection complète de la plus célèbre et importante revue surréaliste, La Révolution Surréaliste. 12 numéros en 11 fascicules du 1er décembre 1924 au 15 décembre 1929.


Vingt-neuf images, une notice, une exposition, une bibliographie

[Revue] La Révolution surréaliste

Photomaton de groupe

J. Aurenche, M.-B. Aurenche et M. Ernst

Photographie

Auteur

Personnes citées Marie-Berthe Aurenche, Jean Aurenche, Max Ernst

Descriptif

Portrait photomaton de Jean et Marie-Berthe Aurenche et de Max Ernst réalisé c. 1929.

Photographie faisant partie des photomatons utilisés par André Breton pour encadrer le tableau de Magritte Je ne vois pas la femme cachée dans la forêt reproduit dans La Révolution surréaliste n°12 du 15 décembre 1929.  (ancienne information erronée)

 

Sont représentés : Jean Aurenche, sa soeur Marie-Berthe Aurenche et Max Ernst. 

La première cabine est installée à Paris en décembre 1928 dans le hall du journal L’Intransigeant. Dès  l’année suivante, on en trouve d’autres : dans le hall du Petit-Journal, aux Galeries Lafayette, Chez Sam’s, un restaurant franco-anglo-saxon du 26 boulevard des Italiens mais aussi à Luna Park, porte Maillot.  C’est sans doute là que le groupe surréaliste entame plusieurs séries de photomaton. Les premiers sont reproduits dans La Révolution surréaliste, en décembre 1929.

Il en existe plusieurs séries que l’on peut noter aux tenues variées des protagonistes qui changent selon les saisons : si certains n’ont posé qu’une seule fois (Fourrier, Bunuel, Mégret, Magritte, Jean Aurenche, Unik, Nougé, Goemans, Dali, Alexandre, Valentin, Gazelle et Marcel Duhamel, Simone Prévert, Jeannette Tanguy, Morise ou Caupenne) ; d’autres à peine deux fois avec ou sans chapeau (Boiffard, Tanguy, Queneau, Pierre Prévert, Mesens, Unik, Aagon) ; nous voyons au moins 3 passages en cabine pour Breton, Ernst, Eluard, Marie-Berthe Aurenche et Jacques Prévert) ; quant à Suzanne Muzard, elle arbore pas moins de huit ensembles différents – que ce soit robe, veste ou chapeau…

[Anne Egger, 2023, Atelier André Breton]

 

 

Bibliographie

- Photographie : acquisitions récentes (2003-2007) : Paris (France), centre Pompidou Musée national d'art moderne, 07 novembre 2007-07 janvier 2008

- Paris, Musée national d'art moderne/ Centre Georges Pompidou, La Subversion des images: Surréalisme, photographie, film, 2009, rep.p. 55 //  Winterthour (Suisse), Fotomuseum Winterthur, 26 février 2010-23 mai 2010 // Madrid (Espagne), Instituto de Cultura/ Fundacion Mapfre, 11 juin 2010-12 septembre 2010

- Derrière le Rideau - l'Esthétique du Photomaton : Lausanne (Suisse), Musée de l'Élysée Un musée pour la photographie, 17 février 2012-20 mai 2012 // Bruxelles (Belgique), Centre culturel du Botanique, 28 juin 2012-26 août 2012 // Vienne (Autriche), KunstHausWien, 11 octobre 2012-13 janvier 2013

Date de créationcirca 1929
NotesÉpreuve gélatino-argentique
21 x 3,8 cm
Lieu d'origine
Musée

Musée national d'Art moderne, Centre Pompidou, Paris : AM 2003-288(6)

Crédit© G. Meguerditchian/Centre Pompidou, MNAM-CCI
Vente Breton 2003Lot 5265
Mots-clés, , , ,
CatégoriesPhotographies, [Photos] 1924-1930
Série2009-2010, Subversion des images, centre Pompidou
ExpositionsFêtes foraines et Photomaton , La Subversion des images | Photographie surréaliste
Lien permanenthttps://cms.andrebreton.fr/fr/work/56600100753020
Lieu d'origine
Lieux d'exposition

Photomaton d’André Breton aux lunettes

Photographie

Auteur

Personne citée André Breton

Descriptif

Photomaton d’André Breton aux lunettes c. 1929

 

La première cabine est installée à Paris en décembre 1928 dans le hall du journal L’Intransigeant. Dès  l’année suivante, on en trouve d’autres : dans le hall du Petit-Journal, aux Galeries Lafayette, Chez Sam’s, un restaurant franco-anglo-saxon du 26 boulevard des Italiens mais aussi à Luna Park, porte Maillot.  C’est sans doute là que le groupe surréaliste entame plusieurs séries de photomaton. Les premiers sont reproduits  dans La Révolution surréaliste, en décembre 1929.

Il existe au moins trois séries de photomatons prises par André Breton. La 1er où il apparait dans un costume sombre, chemise à rayures  avec cravate unie – ici, de même que dans les n° 56600100528260_1 ; 5660010059073_2 ;  & 56600100033000_1.. Dans la 2e, il porte un costume plus clair, un manteau et une cravate bigarrée, et parfois avec un chapeau.. Dans la 3e, il arbore une cravate imprimée.

[Anne Egger, 2023, site André Breton]

 

 

Bibliographie

- Paris, Musée national d'art moderne / Centre Georges Pompidou, André Breton, la beauté convulsive, 1991, rep.p. 85

- Dada : Paris (France), Centre Pompidou, 04 octobre 2005-09 janvier 2006 // Washington (États-Unis), The National Gallery of Art, 19 février 2006-14 mai 2006 // New York (États-Unis), The Museum of Modern Art, 16 juin 2006-11 septembre 2006

- Photographie : acquisitions récentes (2003-2007) : Paris (France), Musée national d'art moderne, 07 novembre 2007-07 janvier 2008

- La subversion des images : Paris (France), Musée national d'art moderne, 23 septembre 2009-11 janvier 2010 // Winterthour (Suisse), Fotomuseum Winterthur, 26 février 2010-23 mai 2010 // Madrid (Espagne), Instituto de Cultura/ Fundacion Mapfre, 11 juin 2010-12 septembre 2010, repro. p. 50

- Surréalisme : Tokyo (Japon), National Art Center Tokyo, 09 février 2011-15 mai 2011 // Brisbane (Australie), Queensland Art Gallery, 11 juin 2011-03 octobre 2011

- Derrière le Rideau - l'Esthétique du Photomaton : Lausanne (Suisse), Musée de l'Elysée Un musée pour la photographie, 17 février 2012-20 mai 2012 // Bruxelles (Belgique), Centre culturel du Botanique, 28 juin 2012-26 août 2012 // Vienne (Autriche), KunstHausWien, 11 octobre 2012-13 janvier 2013

Date de créationc 1929
Notes21,7 x 16,8 cm (8 9/16 x 6 5/8 in.)
Provenancesl
Lieu d'origine
Musée

Musée national d'Art moderne, Centre Pompidou, Paris : AM 2003-272

Référence4037000
Vente Breton 2003Lot 5015
Mots-clés, ,
Catégories[Photos] 1924-1930
Série2009-2010, Subversion des images, centre Pompidou
ExpositionLa Subversion des images | Photographie surréaliste
Lien permanenthttps://cms.andrebreton.fr/fr/work/56600100790830
Lieu d'origine

Photomaton de Marie-Berthe Aurenche

M.-B. Aurenche

Photographie

Auteur

Personne citée Marie-Berthe Aurenche

Descriptif

Portrait photomaton de Marie-Berthe Aurenche réalisé c. 1929 

Photographie faisant partie des photomatons utilisés par André Breton pour encadrer le tableau de Magritte Je ne vois pas la femme cachée dans la forêt reproduit dans La Révolution surréaliste n°12 du 15 décembre 1929. (ancienne information erronée)

 

La première cabine est installée à Paris en décembre 1928 dans le hall du journal L’Intransigeant. Dès  l’année suivante, on en trouve d’autres : dans le hall du Petit-Journal, aux Galeries Lafayette, Chez Sam’s, un restaurant franco-anglo-saxon du 26 boulevard des Italiens mais aussi à Luna Park, porte Maillot.  C’est sans doute là que le groupe surréaliste entame plusieurs séries de photomaton. Les premiers sont reproduits dans La Révolution surréaliste, en décembre 1929.

Il en existe plusieurs séries que l’on peut noter aux tenues variées des protagonistes qui changent selon les saisons : si certains n’ont posé qu’une seule fois (Fourrier, Bunuel, Mégret, Magritte, Jean Aurenche, Unik, Nougé, Goemans, Dali, Alexandre, Valentin, Gazelle et Marcel Duhamel, Simone Prévert, Jeannette Tanguy, Morise ou Caupenne) ; d’autres à peine deux fois avec ou sans chapeau (Boiffard, Tanguy, Queneau, Pierre Prévert, Mesens, Unik, Aagon) ; nous voyons au moins 3 passages en cabine pour Breton, Ernst, Eluard, Marie-Berthe Aurenche et Jacques Prévert) ; quant à Suzanne Muzard, elle arbore pas moins de huit ensembles différents – que ce soit robe, veste ou chapeau…

[Anne Egger, 2023, Atelier André Breton]

 

Bibliographie

- Paris, Musée national d'art moderne/ Centre Georges Pompidou, La Subversion des images: Surréalisme, photographie, film, 2009, rep.p. 55 //  Winterthour (Suisse), Fotomuseum Winterthur, 26 février 2010-23 mai 2010 // Madrid (Espagne), Instituto de Cultura/ Fundacion Mapfre, 11 juin 2010-12 septembre 2010

- Derrière le Rideau - l'Esthétique du Photomaton : Lausanne (Suisse), Musée de l'Élysée Un musée pour la photographie, 17 février 2012-20 mai 2012 // Bruxelles (Belgique), Centre culturel du Botanique, 28 juin 2012-26 août 2012 // Vienne (Autriche), KunstHausWien, 11 octobre 2012-13 janvier 2013

 

Date de créationcirca 1929
NotesÉpreuve gélatino-argentique
15,1 x 3,8 cm
Lieu d'origine
Musée

Musée national d'Art moderne, Centre Pompidou, Paris : AM 2003-288(3)

Crédit© G. Meguerditchian/Centre Pompidou, MNAM-CCI
Référencelot_5265_3
Mots-clés, , , ,
CatégoriesPhotographies, [Photos] 1924-1930
Série2009-2010, Subversion des images, centre Pompidou
ExpositionLa Subversion des images | Photographie surréaliste
Lien permanenthttps://cms.andrebreton.fr/fr/work/56600100656860
Lieu d'origine

Photomaton d'André Breton

A. Breton

Photographie

Auteur

Personne citée André Breton

Descriptif

Portrait photomaton de Breton réalisé c. 1929 pour encadrer le tableau de Magritte Je ne vois pas la femme cachée dans la forêt.

Photographie faisant partie des photomatons utilisés par André Breton pour encadrer le tableau de Magritte Je ne vois pas la femme cachée dans la forêt reproduit dans La Révolution surréaliste n°12 du 15 décembre 1929. Est représenté : André Breton.  [catalogue de la vente, 2003]

 

La première cabine est installée à Paris en décembre 1928 dans le hall du journal L’Intransigeant. Dès  l’année suivante, on en trouve d’autres : dans le hall du Petit-Journal, aux Galeries Lafayette, Chez Sam’s, un restaurant franco-anglo-saxon du 26 boulevard des Italiens mais aussi à Luna Park, porte Maillot.  C’est sans doute là que le groupe surréaliste entame plusieurs séries de photomaton. Les premiers sont reproduits dans La Révolution surréaliste, en décembre 1929.

Il en existe plusieurs séries que l’on peut noter aux tenues variées des protagonistes qui changent selon les saisons : si certains n’ont posé qu’une seule fois (Fourrier, Bunuel, Mégret, Magritte, Jean Aurenche, Unik, Nougé, Goemans, Dali, Alexandre, Valentin, Gazelle et Marcel Duhamel, Simone Prévert, Jeannette Tanguy, Morise ou Caupenne) ; d’autres à peine deux fois avec ou sans chapeau (Boiffard, Tanguy, Queneau, Pierre Prévert, Mesens, Unik, Aagon) ; nous voyons au moins 3 passages en cabine pour Breton, Ernst, Eluard, Marie-Berthe Aurenche et Jacques Prévert) ; quant à Suzanne Muzard, elle arbore pas moins de huit ensembles différents – que ce soit robe, veste ou chapeau…

[Anne Egger, 2023, Atelier André Breton]

 

 

Bibliographie

- Paris, Musée national d'art moderne - Centre Georges Pompidou, André Breton, la beauté convulsive, 1991, rep.p. 193

- Le sabotage du réel- L'esprit surréaliste dans la photographie européenne, 1922-1947 : Tallinn (Estonie), Eesti Kunstimuuseum / Kumu Art Museum, 30 octobre 2008-11 janvier 2009 // Istanbul (Turquie), Istanbul Modern Art Museum, 03 février 2009-26 avril 2009 // Puebla (Mexique), Museo Amparo, 12 juin 2009-31 août 2009

- Paris, Musée national d'art moderne/ Centre Georges Pompidou, La Subversion des images: Surréalisme, photographie, film, 2009, rep.p. 51 // Winterthour (Suisse), Fotomuseum Winterthur, 26 février 2010-23 mai 2010 // Madrid (Espagne), Instituto de Cultura/ Fundacion Mapfre, 11 juin 2010-12 septembre 2010

- Derrière le Rideau - l'Esthétique du Photomaton : Lausanne (Suisse), Musée de l'Élysée Un musée pour la photographie, 17 février 2012-20 mai 2012 // Bruxelles (Belgique), Centre culturel du Botanique, 28 juin 2012-26 août 2012 // Vienne (Autriche), KunstHausWien, 11 octobre 2012-13 janvier 2013

Date de créationcirca 1929
NotesÉpreuve gélatino-argentique
Lieu d'origine
Musée

Musée national d'Art moderne, Centre Pompidou, Paris : AM 2003-287(4)

Crédit© G. Meguerditchian/Centre Pompidou, MNAM-CCI
Référence4232009
Vente Breton 2003Lot 5263
Mots-clés, , , ,
CatégoriesPhotographies, [Photos] 1924-1930
Série2009-2010, Subversion des images, centre Pompidou
ExpositionLa Subversion des images | Photographie surréaliste
Lien permanenthttps://cms.andrebreton.fr/fr/work/56600100892240
Lieu d'origine

Notice reliée à :

1 Œuvre
 
False

Photomaton d'André Breton

-

Portrait photomaton de Breton réalisé c. 1929 pour encadrer le tableau de Magritte Je ne vois pas la femme cachée dans la forêt.

Deux images, une notice descriptive, une bibliographie, des expositions.

2009-2010, Subversion des images, centre Pompidou

Photomaton de Jacques Prévert

J. Prévert

Photographie

Auteur

Personne citée Jacques Prévert

Descriptif

Portrait photomaton de Prévert réalisé c. 1929

Photographie faisant partie des photomatons utilisés par André Breton pour encadrer le tableau de Magritte Je ne vois pas la femme cachée dans la forêt reproduit dans La Révolution surréaliste n°12 du 15 décembre 1929. (ancienne information erronée)

 

La première cabine est installée à Paris en décembre 1928 dans le hall du journal L’Intransigeant. Dès  l’année suivante, on en trouve d’autres : dans le hall du Petit-Journal, aux Galeries Lafayette, Chez Sam’s, un restaurant franco-anglo-saxon du 26 boulevard des Italiens mais aussi à Luna Park, porte Maillot.  C’est sans doute là que le groupe surréaliste entame plusieurs séries de photomaton. Les premiers sont reproduits dans La Révolution surréaliste, en décembre 1929.

Il en existe plusieurs séries que l’on peut noter aux tenues variées des protagonistes qui changent selon les saisons : si certains n’ont posé qu’une seule fois (Fourrier, Bunuel, Mégret, Magritte, Jean Aurenche, Unik, Nougé, Goemans, Dali, Alexandre, Valentin, Gazelle et Marcel Duhamel, Simone Prévert, Jeannette Tanguy, Morise ou Caupenne) ; d’autres à peine deux fois avec ou sans chapeau (Boiffard, Tanguy, Queneau, Pierre Prévert, Mesens, Unik, Aagon) ; nous voyons au moins 3 passages en cabine pour Breton, Ernst, Eluard, Marie-Berthe Aurenche et Jacques Prévert) ; quant à Suzanne Muzard, elle arbore pas moins de huit ensembles différents – que ce soit robe, veste ou chapeau…

[Anne Egger, 2023, Atelier André Breton]

 

 

Bibliographie

- Le sabotage du réel- L'esprit surréaliste dans la photographie européenne, 1922-1947 : Tallinn (Estonie), Eesti Kunstimuuseum / Kumu Art Museum, 30 octobre 2008-11 janvier 2009 // Istanbul (Turquie), Istanbul Modern Art Museum, 03 février 2009-26 avril 2009 // Puebla (Mexique), Museo Amparo, 12 juin 2009-31 août 2009

- Paris, Musée national d'art moderne/ Centre Georges Pompidou, La Subversion des images: Surréalisme, photographie, film, 2009, rep.p. 54 // Winterthour (Suisse), Fotomuseum Winterthur, 26 février 2010-23 mai 2010 // Madrid (Espagne), Instituto de Cultura/ Fundacion Mapfre, 11 juin 2010-12 septembre 2010

- Derrière le Rideau - l'Esthétique du Photomaton : Lausanne (Suisse), Musée de l'Élysée Un musée pour la photographie, 17 février 2012-20 mai 2012 // Bruxelles (Belgique), Centre culturel du Botanique, 28 juin 2012-26 août 2012 // Vienne (Autriche), KunstHausWien, 11 octobre 2012-13 janvier 2013

Date de créationcirca 1929
NotesÉpreuve gélatino-argentique
20,2 x 3,8 cm
Lieu d'origine
Musée

Musée national d'Art moderne, Centre Pompidou, Paris : AM 2003-288(5)

Crédit© G. Meguerditchian/Centre Pompidou, MNAM-CCI
Référencelot_5265_7
Mots-clés, , , ,
CatégoriesPhotographies, [Photos] 1924-1930
Série2009-2010, Subversion des images, centre Pompidou
ExpositionsFêtes foraines et Photomaton , La Subversion des images | Photographie surréaliste
Lien permanenthttps://cms.andrebreton.fr/fr/work/56600100670610
Lieu d'origine
Lieux d'exposition