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Madame Marie Laurencin

Manuscrit

Auteur

Auteur André Breton
Recueilli par Argus de la Presse
Personnes citées Stéphane Mallarmé, Arthur Rimbaud, Guillaume Apollinaire

Descriptif

Texte d'André Breton pour la revue Le Carnet critique (15 décembre 1917 – 15 janvier 1918), collecté par l'Argus de la presse et collé par Breton.

Première publication du portrait de Marie Laurencin par André Breton, dans la revue la revue Le Carnet critique, nº 2-3, 15 décembre 1917 – 15 janvier 1918. Breton utilisait l'Argus de la presse, comme l'atteste le nom souligné en rouge.

Dans une lettre à Apollinaire de mars 1917, Breton avait fait part de sa volonté d'écrire un petit article de critique d'art sur Marie Laurencin. Dans l'épigraphe de la version publiée, il la met en parallèle avec Tristouse Ballerinette, maîtresse du héros Croniamantal dans le Poète assassiné, œuvre d'Apollinaire qu'il admire, datant de 1916. Breton a d'ailleurs écrit un poèmte de jeunesse dédié à Marie Laurencin, « L’An suave »: « Ai-je omis la Nymphe miraculeuse, / Icare au buissons neigeux [...] »... [Site André Breton, 2023]

Bibliographie

André Breton, « Madame Marie Laurencin », in Le Carnet critique, nº 2-3, 15 décembre 1917 – 15 janvier 1918.

André Breton, « Rieuse et si peut-être », repris dans « Alentours I » [1913-1919], Œuvres complètes, t. I., Paris, Gallimard, « Bibliothèque de la Pléiade », 1988, p. 22-23, notice p. 1102.