Photomaton de Paul Éluard
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Portrait photomaton de Paul Éluard réalisé c. 1929 pour encadrer le tableau de Magritte Je ne vois pas la femme cachée dans la forêt.
Deux images, une notice descriptive.
Personne citée Édouard-Léon-Théodore Mesens
Portrait photomaton de Mesens réalisé c. 1929 pour encadrer le tableau de Magritte Je ne vois pas la femme cachée dans la forêt.
Photographie faisant partie des photomatons utilisés par André Breton pour encadrer le tableau de Magritte Je ne vois pas la femme cachée dans la forêt reproduit dans La Révolution surréaliste n°12 du 15 décembre 1929. Est représenté : Edouard-Léon-Théodore Mesens. [catalogue de la vente, 2003]
La première cabine est installée à Paris en décembre 1928 dans le hall du journal L’Intransigeant. Dès l’année suivante, on en trouve d’autres : dans le hall du Petit-Journal, aux Galeries Lafayette, Chez Sam’s, un restaurant franco-anglo-saxon du 26 boulevard des Italiens mais aussi à Luna Park, porte Maillot. C’est sans doute là que le groupe surréaliste entame plusieurs séries de photomaton. Les premiers sont reproduits dans La Révolution surréaliste, en décembre 1929.
Il en existe plusieurs séries que l’on peut noter aux tenues variées des protagonistes qui changent selon les saisons : si certains n’ont posé qu’une seule fois (Fourrier, Bunuel, Mégret, Magritte, Jean Aurenche, Unik, Nougé, Goemans, Dali, Alexandre, Valentin, Gazelle et Marcel Duhamel, Simone Prévert, Jeannette Tanguy, Morise ou Caupenne) ; d’autres à peine deux fois avec ou sans chapeau (Boiffard, Tanguy, Queneau, Pierre Prévert, Mesens, Unik, Aagon) ; nous voyons au moins 3 passages en cabine pour Breton, Ernst, Eluard, Marie-Berthe Aurenche et Jacques Prévert) ; quant à Suzanne Muzard, elle arbore pas moins de huit ensembles différents – que ce soit robe, veste ou chapeau…
[Anne Egger, 2023, Atelier André Breton]
Date de création | 15/12/1929 |
Notes | Épreuve gélatino-argentique 5,3 x 3,8 cm |
Lieu d'origine | |
Musée | Inv: AM 2003-287(7) |
Dimensions | 5,30 x 3,80 cm |
Crédit | © G. Meguerditchian/Centre Pompidou, MNAM-CCI |
Référence | 4232003 |
Vente Breton 2003 | Lot 5265 |
Mots-clés | photographie, photomaton, portrait, revue, revue "la révolution surréaliste" |
Catégories | Photographies, [Photos] 1924-1930 |
Série | [Revue] La Révolution surréaliste |
Lien permanent | https://cms.andrebreton.fr/fr/work/56600100499260 |
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Portrait photomaton de Paul Éluard réalisé c. 1929 pour encadrer le tableau de Magritte Je ne vois pas la femme cachée dans la forêt.
Deux images, une notice descriptive.