Crochet de suspension Iatmul
Représentant un ancêtre mythique debout, le visage et le corps tatoués, les yeux incrustés de cauris.
Une image, une notice descriptive.
Personnes citées André Breton, Elisa Claro BretonPhotographe Cecilia Treviño
Quatre photographies d'André Breton rue Fontaine prises par Cecilia Trevino en 1963 dont une avec Elisa Claro.
Quatre tirages.
Diverses annotations manuscrites au dos. Tampon au dos de trois d'entre eux :
« fotografia propiedad de Excelsior prohibida su venta. »
Cecilia Trevino est une journaliste mexicaine qui était alors mariée au peintre Alberto Gironella.
[Anne Egger, 2023, Atelier André Breton]
Date de création | 1963 |
Notes | Tirage argentique sur papier |
Lieu d'origine | |
Crédit | © ADAGP, Paris, 2012. |
Référence | 3338001 |
Vente Breton 2003 | Lot 5238 |
Mots-clés | photographie, portrait |
Catégories | [Photos] 1958-1966 |
Série | [Photos d'objets] photos d'objets dans l'atelier |
Lien permanent | https://cms.andrebreton.fr/fr/work/56600100654540 |
Représentant un ancêtre mythique debout, le visage et le corps tatoués, les yeux incrustés de cauris.
Une image, une notice descriptive.
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Alberto GironellaCecilia Treviño
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Dix-neuf photographies prises par Cecilia Trevino en 1963, représentant Édouard Jaguer et Alberto Gironella rue Fontaine avec André et Elisa Breton.
Dix-neuf images, une notice descriptive à compléter.
Auteurs Jean Roudillon, Maurice Rheims, Philippe Rheims
Catalogue édité à l'occasion d'une vente aux enchères d'objets d'art océaniens à l'hôtel Drouot les 4 et 5 décembre 1961, accompagné d'une photo de Breton devant la statue de Chateaubriand.
Catalogue de vente des objets ramenés d'Océanie par le navire La Korrigane, entre 1934 et 1936, curieusement truffé d'une photo de Breton devant la statue de Chateaubriand. Annoté. Apparaissent quelques noms d'acheteurs. Vente, à Paris, Hôtel Drouot, les 4 et 5 décembre 1961. (cataogue de la vente AB, 2003)
311 lots sur catalogue. André Breton acquiert les lots 42, 126 (ill. pl. VII), et probablement les lots 250, 251.
« Ayant levé l'ancre le 29 mars 1934, La Korrigane revint mouiller à son point de départ, le vieux port de Marseille, le 14 juin 1936. Sous le commandement du Comte Étienne de Ganay qu'accompagnaient la Comtesse de Ganay, Monsieur et Madame C. Van den Broeck d'Obrenan et un de leurs amis Monsieur J. Ratisbonne, le voilier venait de parcourir le tour du monde.
« Dernier grand voyage ayant permis de voir les îles du Pacifique telles que les avaient découvertes les premiers navigateurs.
« Deux mille cinq cents objets furent réunis au cours de ce périple. Des îles Marquises, de Nouvelle-Zélande, des îles Fidji, de Nouvelle-Calédonie, des Nouvelles-Hébrides, de Santa Cruz, des îles Salomon, de l'archipel des îles de l'Amirauté, de Nouvelle-Guinée, de l'archipel Bismarck et de Bornéo.
« Les deux tiers de ces sculptures et collections ethnographiques sont réunis ce jour pour la dernière fois et grâce aux enchères publiques permettront à leurs futurs propriétaires de prendre à leur charge une part de rêve » (MM. Rheims, Collection océanienne du voyage de La Korrigane, Introduction, , [p. 5], Hôtel Drouot, 4-5 décembre 1961.)
Date de création | 1961 |
Notes bibliographiques | Paris, hôtel Drouot, 1961. |
Date d'édition | 1961 |
Édition | édition originale |
Langues | français |
Dimensions | 20,00 x 27,00 x 1,00 cm |
Illustrations | 50 photographies réparties sur 9 planches et une introduction. |
Éditeur | Hôtel Drouot, Paris |
Vente Breton 2003 | Lot 6077 |
Mots-clés | objet cérémoniel, sculpture, vente |
Catégories | Catalogues, livres sur l'art, livres d'artistes, Livres et revues |
Série | Catalogues de vente |
Exposition | Collection océanienne du voyage de la Korrigane |
Lien permanent | https://cms.andrebreton.fr/fr/work/56600100166970 |
Couronne placée sur l'étagère supérieure du Mur de l'atelier, au milieu.
Trois images, une notice descriptive, une provenance, une bibliographie, un musée.
Couronne accrochée sur l'étagère supérieure du Mur de l'atelier, centre droite.
Une image, une notice descriptive,une provenance, une bibliographie, un musée.
Représentant un ancêtre mythique debout, le visage et le corps tatoués, les yeux incrustés de cauris.
Une image, une notice descriptive.
Couronne accrochée sur l'étagère supérieure du Mur de l'atelier, centre droite.
Couronne de perles de verre européenne, dents de dauphin et fibres végétales.
Couronne ou bandeau de tête, peue’ei or peue’koio, portée par les femmes de caste aristocratique – les hommes en portent aussi parfois. La couronne se compose d'un bandeau de fibres de coco en double tresse avec fermoirs à boucles incorporés aux deux extrémités. Le long de la tresse, des boucles, ornées chacune de perles européennes bleues en alternance avec des perles européennes rouges et de 14 à 15 dents de marsouins, décorent la couronne.
« Cette couronne peue éi (D.39.3.14) enregistrée dans l'inventaire de terrain sous le n°15, provient d'Atuona dans l'Ile de Hiva-Hoa, mais elle a été fabriquée dans l'île de Ua Pou. Elle est constituée de petites dents de marsouin avec des perles européennes rouge et bleu. C'était une coiffure portée par une femme pendant les fêtes.
« Cet objet fut donné par un administrateur d'Atuona à M. Charlier qui en fit don à l'expédition de La Korrigane.
« Commentaire de Christian Coiffier. : Cette couronne était un don pour le musée de l'Homme et elle n'aurait jamais dû être vendue lors de la vente de décembre 1961. » Merci à Christian Coiffier qui a fourni ces informations d'après les fiches d'inventaires du musée de l'Homme. [Anthony Meyer, site André Breton, 2016]
Les peue'ei sont composés en moyenne de 70 à 80 boucles ornées chacune de 20 à 25 perles de verre ou de coquillage et de 14-15 dents de marsouin, soit près de 2400 éléments individuels qui permettent de composer ce type d'œuvre. Chaque marsouin dispose en moyenne d'une cinquantaine de dents, dont un certain pourcentage correspond à celles utilisées pour ces couronnes. Il faut donc une trentaine de marsouins pour fabriquer une couronne de ce type. [Anthony JP Meyer & Marion Bertin, site André Breton, 2019].
Catalogue de vente de La Korrigane (1961), lot 250 ou 251; lot 6149 similaire.
Date de création | sd [circa 19e] |
Notes | Perles, dents de dauphin, fibres végétales Deux étiquettes, mêmes chiffres (une en métal, une en papier) : « D 39 3 14 » |
Provenance | Expédition La Korrigane 1934-1936. Musée de l'Homme, Paris, numéro de dépôt, D.39.3.14. Vente La Korrigane, Drouot, 4 et 5 décembre 1961, MM. Rheims, commissaires priseurs, Jean Roudillon, expert. Probablement partie du lot 250 ou 251. |
Lieu d'origine | |
Musée | Musée national d'Art moderne, Centre Pompidou, Paris : AM 2003-3(137) |
Modalité d'entrée dans les collections publiques | Musée national d'Art moderne, Centre Pompidou, dation André Breton, 2003 |
Dimensions | 55,00 x 3,00 cm |
Crédit | G. Meguerditchian/Centre Pompidou, MNAM-CCI © RMN GP |
Référence | Dation_137 |
Mots-clés | matériaux organiques, mur, Océanie, parure, Polynésie, vente |
Catégories | Océanie, Polynésie |
Exposition | Collection océanienne du voyage de la Korrigane |
Lien permanent | https://cms.andrebreton.fr/fr/work/56600100953320 |
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Maurice Rheims, Philippe Rheims, Jean Roudillon
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Catalogue édité à l'occasion d'une vente aux enchères d'objets d'art océaniens à l'hôtel Drouot les 4 et 5 décembre 1961, accompagné d'une photo de Breton devant la statue de Chateaubriand.
Quatre images, une notice descriptive.
Ornement de femme, ce collier ou cette couronne est constitué de dents de marsouin et de fibres de coco tressées, de perles de rocaille et de verre, et de son fermoir en tapa blanc d'origine.
Une image, une notice descriptive, une exposition, une bibliographie.
Représentant un ancêtre mythique debout, le visage et le corps tatoués, les yeux incrustés de cauris.
Une image, une notice descriptive.
Pendants d'oreilles composés de dents, de perles, de fibre et d'écaille.
Une image, une description, des liens, un musée, une exposition, une bibliographie.
Personnes citées Édouard Jaguer, Cecilia Treviño, André Breton, Elisa Claro BretonArtiste Alberto GironellaPhotographe Cecilia Treviño
Dix-neuf photographies prises par Cecilia Trevino en 1963, représentant Édouard Jaguer et Alberto Gironella rue Fontaine avec André et Elisa Breton.
1/ Edouard Jaguer, Elisa Claro et André Breton
2 /Edouard Jaguer, André Breton et Alberto Gironella
3/ à 12/ puis 15/ à 19 /les mêmes seul, à deux ou trois
13/ et 14/ Ana Cecilia Trevino dite Bambi, journaliste, la 1er épouse de Gironella, et André Breton
Alberto Gironella a exposé un objet galerie Bellechasse, Transfiguration et mort de la reine Mariana, daté de 1962 (aujourd'hui à Pompidou - mur d'André Breton). Une œuvre remarquée par Breton qui a visité l’exposition et qui en fait l’acquisition. Gironella demande à Edouard Jaguer de rencontrer le poète. Ce qui se fera quelques jours plus tard, rue Fontaine, en présence d’Ana Cecilia Trevino. L’œuvre est reproduite dans La Brèche, n°3 en septembre 1962.
[Anne Egger, 2023, Atelier André Breton]
Date de création | 1963 |
Notes | Tirage argentique sur papier |
Lieu d'origine | |
Crédit | © ADAGP, Paris, 2012. |
Référence | 4023000 |
Vente Breton 2003 | Lot 5229 |
Mots-clés | photographie, portrait |
Catégories | [Photos] 1958-1966 |
Série | [Photos d'objets] photos d'objets dans l'atelier |
Lien permanent | https://cms.andrebreton.fr/fr/work/56600100509930 |
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Quatre photographies d'André Breton rue Fontaine prises par Cecilia Trevino en 1963 dont une avec Elisa Claro.
Huit images, une notice descriptive.
Représentant un ancêtre mythique debout, le visage et le corps tatoués, les yeux incrustés de cauris.
Une image, une notice descriptive.